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Rachida Dati, figure emblématique de la politique française, a récemment fait parler d’elle non seulement pour sa carrière, mais aussi pour des déclarations surprenantes concernant sa vie personnelle et des ennuis judiciaires qui la concernent.
Un parcours politique marquant
C’est en 2002 que la vie de Rachida Dati change du tout au tout. Cette année-là, elle fait la rencontre de Nicolas Sarkozy et rejoint le cabinet du ministère de l’Intérieur en tant que conseillère technique. Sa carrière évolue rapidement, passant de porte-parole de la campagne de Sarkozy à Garde des Sceaux. Aujourd’hui, elle s’illustre comme ministre de la Culture, un rôle où elle ne laisse personne indifférent.
Des lapsus mémorables
Rachida Dati ne s’est pas uniquement fait remarquer pour son engagement politique, mais aussi pour des moments plus légers. Lors d’une interview, la politicienne de 59 ans a fait un lapsus coquin en confondant le terme « inflation » avec « fellation ». Cette bourde a rapidement circulé sur les réseaux. Elle a également fait parler d’elle en confondant « code civil » avec « gode civil ».
Plus récemment, lors de son passage sur le plateau de Michel Drucker dans l’émission Vivement Dimanche, Rachida Dati a partagé ses pensées sur les hommes, déclarant : « Il y a beaucoup de gens avec qui je m’emmerde beaucoup… Et les hommes en particulier, je me lasse très vite, je m’ennuie beaucoup. Je ne dis pas ce que je pense et je m’en vais. » Ces mots clairs reflètent son franc-parler.
Une confidence surprenante sur son intimité
Quand elle ne parle pas de politique, Rachida Dati n’hésite pas à aborder sa vie intime. En 2014, sur le plateau de Salut les Terriens, elle s’est exprimée librement sur sa sexualité. Bien qu’elle ait affirmé ne pas être « nympho », elle a révélé son côté « maso », précisant toutefois que « ça dépend avec qui ». Une révélation audacieuse qui a surpris de nombreux spectateurs.
Des ennuis judiciaires en vue
Actuellement, Rachida Dati est au centre d’une affaire sérieuse. Avec l’ex-patron de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, elle a été renvoyée en correctionnelle pour corruption et trafic d’influence. Elle est soupçonnée d’avoir perçu de l’argent pour des prestations de conseil sans avoir réellement travaillé.
Une première audience est prévue en septembre prochain pour fixer la date du procès. En attendant, elle conserve son poste au gouvernement, Emmanuel Macron ayant noté que ce renvoi ne constitue pas une condamnation. Rachida Dati, pour sa part, a dénoncé une « procédure émaillée d’incidents » et ne compte pas renoncer à son travail.