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Des combats frontaliers entre la Thaïlande et le Cambodge se poursuivent malgré un cessez-le-feu annoncé fin octobre. Des bilans variables et des déplacements massifs de civils illustrent la fragilité de ce répit. Selon plusieurs médias, les affrontements ont repris à la frontière nord-est, avec des tirs d’artillerie et des incursions militaires des deux côtés. Les autorités appellent à la retenue et à la protection des populations civiles.
Au cœur du différend: fronts et cessez-le-feu fragile
Selon Liberation, le cessez-le-feu du 26 octobre a été suspendu par Bangkok le 10 novembre; les combats frontaliers se sont intensifiés ces derniers jours et les accusations mutuelles se multiplient. Des civils restent les premières victimes, avec des déplacements massifs dans les zones frontalières.
Des chiffres fournis par les autorités évoquent environ 125 000 déplacés côté thaïlandais et plus de 21 000 côté cambodgien, selon les rapports des agences régionales, y compris Le Telegramme.

Réactions et appels internationaux
Les États-Unis ont appelé à la cessation immédiate des hostilités, selon Le Telegramme, dans le cadre des échanges diplomatiques régionaux et des appels à la retenue.
Des relais médiatiques reportent aussi des réactions des chancelleries impliquées et des partenaires régionaux cherchant à rétablir un cadre stable dans la région.
Des informations distinctes circulent sur l’objectif et le calendrier du cessez-le-feu, mais l’esprit demeure: éviter une escalade qui pourrait toucher des civils et fragiliser la sécurité régionale, selon les journalistes et observateurs cités par les sources.

Bilan humain et enjeux régionaux
Le bilan humain demeure incertain et varie selon les autorités. Liberation indique au moins dix morts au total dans les combats récents, dont trois soldats thaïlandais et sept civils cambodgiens, et souligne les déplacements massifs de civils après les combats. Des dizaines de milliers de personnes ont été contraintes dvacuer les régions frontalières, avec des chiffres évoqués d’environ 125 000 déplacés côté thaïlandais et plus de 21 000 côté cambodgien.
Cette reprise des hostilités illustre lstabilité persistante autour du différend territorial et pose des questions sur les mécanismes régionaux de cessez-le-feu et de sécurité collective, selon les analyses des agences et des observateurs cités par les sources.