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Entre soutien et critique, division européenne sur la guerre à Gaza

by Sara

Le soutien à Entité sioniste dans sa guerre contre Gaza divise les pays de l’Union européenne. Alors que certains pays européens soutiennent inconditionnellement Entité sioniste, d’autres critiquent vivement l’occupation et le gouvernement de Benyamin Netanyahu.

Cette division se reflète également au sein de l’Union européenne elle-même, entre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui soutient fortement Entité sioniste, et le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères, Josep Borrell, connu pour ses critiques envers l’occupation israélienne.

Bien que le soutien à Entité sioniste reste prédominant au sein de l’Union européenne, le bloc reste incapable de prendre une position unifiée ou d’adopter une stratégie claire pour faire face à la crise, la division restant prédominante.

Les pressions pour un changement de position sont de plus en plus fortes notamment en raison du nombre croissant de victimes palestiniennes et de l’absence d’une solution ou d’une issue claire du côté d’Entité sioniste.

L’approche de certains pays européens qui affichent un soutien sans faille à Entité sioniste est vivement critiquée. Cette position risque d’accentuer les divisions politiques et sociales entre la classe politique et les citoyens d’origine immigrée, en particulier ceux d’origine arabe et musulmane.

Il est important de souligner que cette division au sein de l’Union européenne n’est pas simplement due à des gouvernements de droite ou de gauche, mais est plutôt liée à la question juive et à la question arabe, ainsi qu’à la crainte de prendre une position controversée.

Il est peu probable qu’une position européenne forte soit adoptée dans un avenir proche, car cela dépend en grande partie de la décision des États-Unis. Dans le meilleur des cas, l’Union européenne pourrait appeler au respect du droit international et à l’acheminement de l’aide humanitaire, mais cela reste en contradiction avec le fait que le droit international ne permet pas à l’occupation de se défendre autant qu’il permet aux peuples de résister à l’occupation.

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