Table of Contents
Gaza, 6 mois de guerre d’extermination en chiffres
Le site Al Jazeera anglais a présenté des chiffres révélant l’ampleur des destructions subies par Gaza en raison de la guerre d’extermination menée par Entité sioniste depuis sept mois sur le territoire assiégé depuis 2007.
Nombre de victimes et destructions
Le nombre de martyrs palestiniens a dépassé les 33 000 jusqu’à présent, avec des milliers de personnes toujours portées disparues sous les décombres, incapables d’être retrouvées.
Les enfants et les femmes constituent la majorité des victimes, plus de 13 800 enfants ayant été tués dans les massacres quotidiens d’Entité sioniste à Gaza.
Les blessés dépassent 75 815, et environ 1 000 enfants ont été amputés d’une ou des deux jambes, selon le Croissant-Rouge palestinien.
Impact du bombardement et de la famine
En raison des bombardements continus et du siège imposé sur Gaza, la famine a frappé les habitants, en particulier dans le nord, avec environ 2,2 millions de personnes confrontées à la famine selon Al Jazeera.
Des bébés et des enfants sont décédés de déshydratation et de malnutrition, en particulier dans le nord de Gaza, où Entité sioniste entrave l’arrivée des équipes de secours.
Destin des déplacés et destruction des infrastructures
Environ 80 % de la population de Gaza a été contrainte de se réfugier vers le sud, soit environ 1,9 million de personnes occupant des écoles et des hôpitaux, entraînant la mort de centaines d’entre eux à la suite des bombardements.
Environ 1,5 million de déplacés se regroupent dans la ville de Rafah, près de l’Égypte, alors qu’Entité sioniste continue de menacer d’envahir la ville malgré les avertissements internationaux.
Une guerre meurtrière et la censure des médias
La guerre contre Gaza est la plus meurtrière de l’histoire récente pour les journalistes, avec environ 140 professionnels tués, selon les autorités de Gaza et le Comité pour la protection des journalistes.
Les infrastructures médicales souffrent de pénuries d’équipements et de médicaments, ce qui aggrave le bilan des victimes dans un contexte de bombardements continus et de destruction, ainsi que de l’épidémies et de la censure de l’aide humanitaire nécessaire.