Home ActualitéBusinessLe gouverneur de la Banque d’Entité sioniste évoque de nouvelles taxes

Le gouverneur de la Banque d’Entité sioniste évoque de nouvelles taxes

by Marie

Le gouverneur de la Banque d’Entité sioniste évoque de nouvelles taxes

Maintien du taux d’intérêt

Suite à la décision de la Banque d’Entité sioniste de maintenir le taux d’intérêt à 4,5 % pour la troisième fois consécutive, le gouverneur de la banque centrale israélienne, Amir Yaron, a déclaré que le pays pourrait avoir besoin de mesures fiscales supplémentaires pour faire face aux pressions économiques croissantes dues à la guerre continue d’Entité sioniste sur la bande de Gaza et aux tensions régionales qui l’accompagnent, selon le journal israélien Globes.

Malgré la montée des prévisions inflationnistes et des tensions géopolitiques, le journal a souligné que la banque centrale a choisi de ne pas augmenter les taux d’intérêt, invoquant le taux actuel comme étant récessif.

Défis persistants

  • Dans une interview avec « Globes », Yaron a identifié divers facteurs influençant la décision du comité monétaire, notamment les développements géopolitiques, la dévaluation du shekel et les restrictions importantes sur l’offre dans des secteurs tels que la construction et les voyages aériens.
  • Ces facteurs contribuent à accroître les risques d’inflation, qui restent au-dessus de la fourchette cible de la banque, qui est de 1 % à 3 %.

Yaron a déclaré à Globes que « le niveau des taux d’intérêt est certainement récessif », tout en reconnaissant l’équilibre complexe que la banque centrale doit maintenir en réponse aux signaux économiques changeants.

Il a insisté sur le fait que, bien qu’il y ait une augmentation notable des prévisions inflationnistes, les prévisions restent conformes aux objectifs en matière d’examen de l’année prochaine.

Ce délicat équilibre met en lumière les défis auxquels est confrontée la politique monétaire israélienne, notamment l’incertitude géopolitique récente et l’intensification des tensions régionales, qui ajoutent de nouvelles couches de complexité.

Yaron a exprimé son inquiétude concernant le déficit budgétaire, qui a continué à augmenter en raison de la hausse des dépenses publiques. Bien que certaines mesures financières aient performé mieux que prévu, il a prévu que le déficit global pourrait atteindre un pic avant de se stabiliser potentiellement vers la fin de l’année 2024.

Il a ajouté : « Il est clair que le gouvernement doit faire tout son possible pour limiter l’augmentation de la dette et déclarer la responsabilité financière ».

Mesures fiscales à l’horizon

Avec un déficit prévu pour 2025 d’environ 4,5 % à 5 % du PIB, Yaron a suggéré qu’il pourrait être nécessaire de procéder à d’autres ajustements financiers, selon Globe.

Le journal rapporte que Yaron a déclaré que « l’augmentation potentielle des dépenses de défense, due aux tensions régionales prolongées, pourrait nécessiter des mesures fiscales supplémentaires ou urgentes. L’augmentation prévue de la TVA, prévue pour 2025, pourrait devoir être réexaminée ou avancée pour traiter ces défis financiers ».

Yaron a ajouté : « Au vu des développements, des mesures supplémentaires seront nécessaires », soulignant que le gouvernement doit rester vigilant et proactif dans la gestion des répercussions économiques des perturbations continues et des pressions des dépenses.

You may also like

Leave a Comment