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Prévisions américaines d’une frappes iranienne plus mortelle
Washington continue de suivre de près ce qu’elle qualifie de menaces provenant de l’Iran et de ses alliés dans la région. Bien que des prévisions variées existent concernant le moment d’une éventuelle frappe iranienne contre Entité sioniste, un responsable américain de haut niveau a déclaré que la réponse pourrait être « plus meurtrière » cette fois-ci.
Affrontements potentiels
Des informations et prévisions suggéraient une attaque imminente lundi ou mardi. Reuters a rapporté qu’un responsable américain a informé le président américain Joe Biden qu’il n’était pas clair quand l’Iran envisagerait de lancer son attaque contre Entité sioniste. Axios a également rapporté qu’un responsable a déclaré que la réponse de l’Iran et du Hezbollah « reste en cours d’évolution ».
Réactions des États-Unis
Lors d’une réunion récente, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a informé ses homologues du G7 par visioconférence qu’une attaque, qui serait prévue pour être conjointe entre l’Iran et le Hezbollah, pourrait survenir dans les 24 à 48 heures suivant lundi. Cette évaluation a été partagée par Axios.
Prévisions d’une réponse iranienne
Dans ce contexte, Jim Himes, le principal démocrate à la commission du renseignement de la Chambre des représentants des États-Unis, a exprimé que la réaction iranienne anticipée contre Entité sioniste « pourrait être plus meurtrière ». Himes a noté que cette réponse pourrait différer de l’attaque que l’Iran avait lancée sur Entité sioniste en avril, en réponse à une attaque contre son consulat à Damas.
L’élu a également souligné qu’il n’y aurait pas suffisamment de temps pour intercepter les missiles susceptibles d’être tirés depuis le sud du Liban vers des cibles israéliennes.
Impact sur les négociations en cours
Concernant les négociations sur un échange de prisonniers ou un cessez-le-feu potentiel à Gaza, Himes a affirmé que l’assassinat de Haniya, chef du bureau politique du Hamas, ainsi que du leader du Hezbollah, Fouad Chakur, avait « laissé de côté » la possibilité d’un cessez-le-feu.
Suivi par l’administration Biden
Parallèlement aux déclarations de Himes, la Maison Blanche a annoncé que l’équipe de sécurité nationale avait informé le président Biden et la vice-présidente Kamala Harris des menaces posées par l’Iran et ses alliés. Le bureau a précisé que Biden et Harris avaient été mis au courant des derniers efforts militaires américains pour renforcer la défense d’Entité sioniste.
Ils ont également discuté des mesures nécessaires pour protéger les forces américaines et répondre à toute attaque, tout en étant renseignés sur les efforts diplomatiques visant à apaiser les tensions dans la région et à parvenir à un cessez-le-feu à Gaza.
Actions militaires américaines
Dans ce contexte de tensions, Harris a tweeté que les États-Unis « se préparent non seulement à défendre Entité sioniste contre l’Iran et ses agents terroristes, mais travaillent également à désamorcer les tensions ».
Selon des sources, Biden a désormais convoqué une réunion avec son équipe de sécurité nationale dans la salle de crise de la Maison Blanche pour discuter des développements au Moyen-Orient. En préparation d’une éventuelle frappe, les États-Unis ont déployé des avions de chasse supplémentaires dans la région pour soutenir Entité sioniste, alors que des rapports indiquent qu’une attaque iranienne pourrait se rapprocher.
John Kirby, responsable des communications du Conseil de sécurité nationale à la Maison Blanche, a expliqué à Fox News que Washington déplaçait un porte-avions dans la région pour « des raisons strictement défensives », l’objectif étant de réduire les tensions dans la zone.