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Le débat autour de la liberté d’accès à Internet s’intensifie en Italie, où la société Cloudflare et des entreprises spécialisées dans les VPN demandent l’intervention de la Maison Blanche. Cette réaction fait suite à la décision des autorités italiennes de bloquer un total de 32 000 sites, une mesure qui, selon elles, vise à protéger les droits d’auteur et à garantir la sécurité en ligne.
Contexte du blocage
Les autorités italiennes justifient leur décision par la nécessité de lutter contre la piraterie en ligne et de protéger les contenus diffusés sur Internet. Cependant, Cloudflare et d’autres entreprises de services VPN affirment que ces restrictions nuisent non seulement à la liberté d’expression, mais également aux affaires. Selon eux, le blocage des sites entrave l’accès à des informations importantes et limite la concurrence dans le secteur numérique.
Réactions des entreprises de technologie
Cloudflare, un acteur majeur du secteur des services Internet, s’est exprimé fermement contre ces mesures. La société argue que le blocage généralisé de sites ne résout pas le problème de la piraterie, mais le déplace simplement vers des plateformes moins réglementées. De plus, les sociétés de VPN affirment que leur rôle est de garantir la confidentialité et la liberté d’accès à l’information pour les utilisateurs, indépendamment de leur localisation géographique.
Appel à l’intervention américaine
Les entreprises concernées ont donc lancé un appel à la Maison Blanche, demandant une prise de position claire sur cette question. Elles soulignent que le blocage de sites en Italie pourrait avoir des implications plus larges pour la réglementation d’Internet au niveau mondial, en mettant en danger le principe de neutralité du net.
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