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Selvaggia Lucarelli, journaliste et blogueuse, s’est livrée pour la première fois lors d’une interview exclusive diffusée dans l’émission Verissimo. Elle y évoque notamment son regard sur Chiara Ferragni, sa carrière, ainsi que ses expériences personnelles marquantes.
Une empathie renouvelée pour Chiara Ferragni
Invitée dans l’émission Verissimo le 23 février dernier, Selvaggia Lucarelli a partagé son ressenti face à la polémique qui a touché Chiara Ferragni, connue sous le nom de « pandoro-gate ». Elle a exprimé une empathie sincère envers l’influenceuse italienne, estimant que cette dernière avait déjà suffisamment payé pour son erreur.
« Chiara Ferragni ? Elle a payé assez cher et mérite une seconde chance », a-t-elle déclaré, soulignant que l’aspect pénal ne la concernait pas directement. Ce qui l’a surtout frappée, c’est le poids de la réputation et les critiques incessantes que subit Ferragni, indépendamment de ses paroles ou actions.
En revanche, Lucarelli se montre plus critique à l’égard de Fedez, ex-mari de Ferragni. Elle juge que celui-ci bénéficie d’une indulgence injustifiée, tandis que les torts graves qui lui sont attribués passent plus facilement inaperçus. « Je ne demande pas pardon à Chiara Ferragni, car mon travail a été utile, mais il est temps de lui offrir une seconde opportunité », a-t-elle précisé.
Retour sur une carrière et des défis personnels
Selvaggia Lucarelli est également revenue sur son expérience en tant que co-animatrice du Dopofestival avec Alessandro Cattelan. Malgré une certaine anxiété liée à la performance, elle a choisi de privilégier le plaisir et l’amusement dans son rôle secondaire lors de ce grand rendez-vous musical.
Elle a aussi évoqué la controverse autour de la chanson « Quando sarai piccola » de Simone Cristicchi, présentée lors du festival. En professionnel aguerrie, Lucarelli reconnaît son franc-parler et sa nature sans détour, qui lui valent parfois des ennemis dans le milieu médiatique.
Vie personnelle : entre amours toxiques et renouveau
Maman de Leon, né en 2005 de sa relation avec Laerte Pappalardo, Selvaggia Lucarelli entretient aujourd’hui avec ce dernier un lien apaisé et complice, après une période conflictuelle d’environ trois ans. « Laerte reste la plus grande conquête de ma vie », confie-t-elle, heureuse que leur fils ait hérité de ses qualités et défauts.
Elle a également partagé un témoignage poignant sur une relation toxique qu’elle a vécue. « C’était une véritable dépendance affective qui me détruisait physiquement et mentalement », a-t-elle déclaré. Face à un partenaire qu’elle décrit comme un « narcissique », elle oscillait entre un désir intense d’amour et la douleur de cette relation impossible. Sa sortie de cette spirale a été une victoire personnelle, sans recours à une aide extérieure, fruit d’un long travail sur elle-même et du temps.
Selvaggia a retrouvé l’amour et la stabilité auprès de Lorenzo Biagiarelli, avec qui elle partage sa vie depuis plus de dix ans. Elle souligne la complicité et la compréhension qui règnent entre eux, notamment face à ses moments d’humeur : « Il sait toujours comment me comprendre et me faire sourire. »