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Dans une récente conversation téléphonique exclusive avec la BBC, Donald Trump a exprimé sa déception envers Vladimir Poutine tout en affirmant qu’il n’en avait pas fini avec le dirigeant russe.
Confiance et relations internationales
Interrogé sur sa confiance envers Poutine, le président américain a répondu : « Je fais confiance à presque personne. » Cette déclaration survient peu après l’annonce de Trump concernant l’envoi d’armements à l’Ukraine, ainsi qu’un avertissement sur des sanctions économiques sévères contre la Russie si un accord de cessez-le-feu n’était pas atteint dans les 50 jours.
Entretien sur la défense collective
Dans une interview large depuis le Bureau ovale, Trump a également soutenu l’OTAN, qu’il avait précédemment qualifiée d’obsolète, et a réaffirmé son soutien au principe de défense collective de l’organisation. Pendant cet entretien de 20 minutes, Trump a discuté de ses espoirs de parvenir à un accord avec la Russie, soulignant qu’il avait cru à quatre reprises qu’un tel accord était proche.
Réactions à la tentative d’assassinat
Lorsqu’il a été questionné sur l’impact de sa tentative d’assassinat, Trump a déclaré qu’il préférait ne pas y penser. Il a exprimé sa volonté de ne pas se laisser changer par cet événement, ajoutant que s’attarder sur cela pourrait « changer la vie ».
Perspectives sur l’OTAN et le Royaume-Uni
Concernant l’OTAN, Trump a modifié son opinion, déclarant : « Non. Je pense que l’OTAN est en train de devenir le contraire de cela » car l’alliance « paie ses propres factures. » Il a réaffirmé sa conviction dans la défense collective, permettant ainsi aux petits pays de se défendre contre des nations plus grandes.
En évoquant le futur du Royaume-Uni sur la scène mondiale, Trump a dit qu’il considérait le pays comme un « endroit formidable, » mentionnant qu’il possède des biens immobiliers là-bas. Il a également exprimé son impatience à l’idée d’effectuer une seconde visite d’État inédite au Royaume-Uni en septembre, avec pour objectif de « passer un bon moment et de respecter le roi Charles, car c’est un grand gentleman. »