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Terence Stamp, acteur britannique connu pour ses rôles marquants au cinéma et à la télévision, est décédé à l’âge de 87 ans. Sa famille l’a annoncé ce dimanche 17 août 2025. Au cours d’une carrière qui s’est étendue sur six décennies, il a laissé une œuvre variée et influente, rappelée par ses proches comme « une œuvre extraordinaire » qui continuera à toucher les gens pour les années à venir.
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Décès de Terence Stamp à l’âge de 87 ans
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La famille du comédien a annoncé son décès dimanche 17 août 2025, sans préciser les circonstances. Il est mort à l’âge de 87 ans, a précisé le communiqué de la famille. Dans un communiqué transmis par sa famille, on peut lire: « Il laisse derrière lui une œuvre extraordinaire, à la fois en tant qu’acteur et en tant qu’écrivain, qui continuera à toucher et à inspirer les gens pour les années à venir », indique le communiqué de la famille.
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Il est surtout connu pour avoir incarné le général Zod dans Superman (1978) et, dans Star Wars, épisode I : La Menace Fantôme, le chancelier Valorum. Sa carrière s’est étendue sur plus de six décennies et il a participé à plus de 70 films, alternant grosses productions et projets indépendants réalisés par des noms aussi variés que George Lucas, Ken Loach, Pier Paolo Pasolini ou Steven Soderbergh.
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Rôles emblématiques et biographie cinématographique
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À ses débuts, Stamp s’est fait remarquer en 1962 avec le rôle de Billy Budd dans le film de Peter Ustinov, qui lui a valu une nomination aux Oscars et un Golden Globe de la révélation masculine. Ce fils d’ouvrier avait percé dans le rôle d’un matelot angélique accusé à tort, et sa carrière s’est ensuite enrichie d’un personnage de psychopathe dans L’Obsédé de William Wyler, pour lequel il a obtenu le prix d’interprétation masculine à Cannes en 1965.
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Ken Loach l’a engagé pour Pas de larmes pour Joy (1967). Après une traversée du désert, Richard Donner l’a choisi pour jouer le général Zod dans Superman en 1977. Il a également incarné Bernadette, le transexuel de Priscilla Folle du désert (1994). Jusqu’au bout de sa carrière, il a alterné entre grandes productions comme Star Wars, Le Sicilien ou Wall Street et des œuvres plus indépendantes telles que The Hit de Stephen Frears (1984) ou L’Anglais de Steven Soderbergh (1998).
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Héritage et répercussions
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La disparition de Terence Stamp rappelle une carrière qui a marqué plusieurs générations de spectateurs. Son parcours, marqué par une polyvalence rare et une présence magnétique, traverse les décennies et illustre l’évolution du cinéma britannique et international. Selon les dépêches, l’annonce a été relayée par les médias en France et au Royaume‑Uni, témoignant de l’ampleur d’une icône dont le nom reste associé à des films cultes et à une filmographie éclectique. Sa famille a précisé que son décès intervenait sans détails sur les circonstances et que son œuvre continuerait d’inspirer les artistes et les fans dans les années à venir.