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Le président argentin Javier Milei a reconnu vendredi une passe délicate pour son gouvernement, dénonçant une \ »panique politique\ » qui, selon lui, exerce une pression des marchés sur le peso et fait grimper le risque pays.
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Une reconnaissance de difficulté pour les réformes
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Cette prise de position intervient alors que les réformes économiques annoncées par le gouvernement suscitent un débat sur leur calendrier et leur cohérence. Milei affirme que la phase actuelle est une étape nécessaire pour ancrer les mécanismes de son programme, tout en dénonçant ce qu’il qualifie de panique politique et en appelant à la discipline budgétaire.
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Impact sur le peso et le risque pays
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Selon Milei, la panique politique entraîne une pression des marchés sur le peso et fait grimper le risque pays, un message qui alimente le débat sur l’équilibre entre réforme et stabilité macroéconomique. Les dépêches des agences mentionnent ces propos sans fournir de chiffres précis sur l’évolution de la monnaie ou l’évaluation du risque.
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Perspectives et prochaines étapes
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Dans ce contexte, le gouvernement réaffirme son intention de maintenir le calendrier des réformes et de renforcer la crédibilité budgétaire pour rassurer les investisseurs. Opposants et analystes restent divisés sur l’impact réel de la panique politique et sur les mesures à venir, mais la discussion publique autour des réformes demeure centrale en Argentine.