Un gendarme de 38 ans, père de deux enfants, s’est suicidé avec son arme de service dans son logement situé au sein de la caserne de Wissembourg, dans le Bas-Rhin, dans la nuit de jeudi à vendredi, selon la gendarmerie ce mardi. L’enquête a été confiée au parquet de Strasbourg pour rechercher les causes de la mort. Un soutien psychologique et un accompagnement social ont été mis en place pour aider sa famille et ses camarades. Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, 27 policiers et 26 gendarmes se sont suicidés en 2024.
Bas-Rhin, Wissembourg: un gendarme de 38 ans se suicide avec son arme dans la caserne
Le militaire était affecté au peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Wissembourg. Il est décédé dans son logement situé au sein de la caserne, dans la nuit de jeudi à vendredi. Une enquête a été ouverte pour rechercher les causes de la mort, sous la direction du parquet de Strasbourg. Un soutien psychologique et un accompagnement social ont été mis en place pour soutenir sa famille et ses camarades. Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, 27 policiers et 26 gendarmes se sont suicidés en 2024.
Les autorités rappellent la disponibilité de dispositifs d’aide et d’écoute pour le personnel, notamment en période de tension ou de crise. Cette affaire rappelle la préoccupation croissante autour de la santé mentale dans les forces de l’ordre et la nécessité de préserver le soutien familial et professionnel autour des agents.
Faits et contexte: enquête et soutien
En parallèle, les autorités précisent que l’enquête suit son cours sous la direction du parquet de Strasbourg. Les prestations d’accompagnement psychologique et social restent accessibles aux proches et aux collègues de l’agent. Le ministère de l’Intérieur rappelle les chiffres annuels: 27 policiers et 26 gendarmes se sont suicidés en 2024.
L’information est présentée de manière factuelle et sans spéculation, et les autorités indiquent que les procédures sont en cours et que le soutien se poursuit pour les proches.