Les États-Unis n’enverront pas de « représentants de haut niveau » à la COP30 organisée à Belem, au Brésil, qui commence le 10 novembre, a indiqué un responsable de la Maison Blanche samedi. « Les États-Unis n’envoient pas de représentants de haut niveau à la COP 30», a-t-il déclaré, expliquant que « le président (Donald Trump) dialogue directement avec les dirigeants du monde entier sur les questions d’énergie ». Cette position s’inscrit dans une approche visant à privilégier le dialogue direct avec les dirigeants sur les questions d’énergie et les priorités climatiques, plutôt que d’envoyer une délégation de haut rang.
Contexte et déclaration de la Maison Blanche
Selon le même responsable, cette approche reflète une stratégie visant à privilégier le dialogue direct avec les dirigeants sur les questions d’énergie et les priorités climatiques. La COP30, qui se tient à Belem à partir du 10 novembre, réunit des délégations de nombreux pays pour discuter des efforts climatiques et énergétiques mondiaux.
Cette décision, qui a été relayée par la Maison Blanche samedi, intervient dans un contexte où les États-Unis cherchent à ajuster leur participation diplomatique dans les discussions multilatérales sur le climat et l’énergie.
Implications pour la COP30 et les échanges internationaux
La décision de limiter la présence à un niveau élevé sera scrutée par les observateurs, alors que la conférence cherche à mobiliser des engagements concrets sur la réduction des émissions et les transitions énergétiques. Les informations disponibles ne détaillent pas pour le moment les mécanismes d’échanges bilatéraux qui pourraient être envisagés en marge de l’événement.