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Trump gracie 77 soutiens impliqués dans la tentative d’inverser 2020

par charles
États-Unis

Le président américain Donald Trump a gracié 77 personnes impliquées dans la tentative d’inverser les résultats du scrutin présidentiel de 2020, selon Ed Martin, le responsable des grâces présidentielles. Parmi les bénéficiaires figurent Rudy Giuliani, Mark Meadows, John Eastman, Boris Epshteyn et Sidney Powell. Selon Ed Martin, « Cette proclamation met fin à une grave injustice nationale perpétrée contre le peuple américain après l’élection présidentielle de 2020 et poursuit le processus de réconciliation nationale », affirme le texte daté de vendredi et mis en ligne sur X dans la nuit de dimanche à lundi par Ed Martin. Le texte précise que la grâce est « complète, totale et inconditionnelle » et que « la grâce ne s’applique pas au président des États-Unis ». Ed Martin ajoute que ces mesures restent principalement symboliques, car aucune des personnes identifiées n’était poursuivie au niveau fédéral, et que les personnes concernées demeurent susceptibles d’être jugées par les juridictions locales.

Trump gracie 77 soutiens impliqués dans la tentative d’inverser 2020

Cette décision, annoncée tard dimanche soir, confirme que 77 personnes liées à la tentative d’inverser les résultats de la présidentielle de 2020 bénéficient d’une grâce présidentielle. Parmi les bénéficiaires figurent Rudy Giuliani, Mark Meadows et John Eastman, ainsi que Boris Epshteyn et Sidney Powell; des dizaines d’autres militants républicains sont également mentionnés.

Trump annonce les pardons
Trump annonce les pardons.

Le texte précise que ces grâces « complète, totale et inconstitutionnelle » ne s’appliquent pas au président des États-Unis et que les amnisties restent largement symboliques, car aucune des personnes identifiées n’était accusée de crimes fédéraux.

Selon les sources, plusieurs bénéficiaires étaient déjà le sujet de procédures dans des États clés ou dans des dossiers locaux; les destinataires demeurent susceptibles d’être jugés par les juridictions locales, et non devant les tribunaux fédéraux.

Donald Trump dans le bureau ovale
Donald Trump dans le bureau ovale, image associée à la démarche de grâce

La portée de ces pardons est sujette à interprétation et les analystes soulignent le cadre politique entourant l’annonce, sans spéculation sur les conséquences futures. Aucune action fédérale n’était engagée contre les personnes concernées au moment des annonces, et les jugements potentiels pourraient être envisagés par les juridictions locales.

Réactions et cadre juridique

Les répercussions sur l’opinion publique et sur le paysage politique restent difficiles à mesurer, mais les analystes convergent pour dire que les pardons visent principalement à clore des épisodes polarisants et à afficher une unité nationale, sans annuler les procédures locales en cours.

Des divergences existent entre les rédactions sur le nombre exact de bénéficiaires et sur le détail des cas; l’idée générale est celle d’un geste symbolique, suscitant des réactions contrastées chez les responsables politiques et dans les médias.

Ces éléments montrent que, même si le geste est perçu comme un signe de réconciliation par certains, il ne modifie pas les cadres juridiques locaux et n’annule pas les procédures en cours dans les juridictions régionales.

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