Le Centre Georges-François-Leclerc (Dijon) a réalisé le bilan carbone de tout son pôle de médecine nucléaire, une initiative présentée comme une première mondiale et destinée à mieux cerner l’impact environnemental de l’activité hospitalière. L’opération s’inscrit dans une démarche plus vaste de prise de conscience des enjeux climatiques dans le secteur de la santé. Le bilan a été réalisé par l’un des praticiens du service et vise à identifier des pistes d’amélioration pour réduire les émissions associées.

À Dijon, un bilan carbone du service de médecine nucléaire
Le bilan carbone du pôle médecine nucléaire a été mené au Centre Leclerc pour évaluer les émissions liées à l’activité et pour ouvrir des pistes d’amélioration. L’initiative vise à mesurer l’empreinte environnementale et à guider des démarches concrètes afin de réduire les émissions associées. Des observations préliminaires indiquent que certains procédés et usages pourraient être optimisés pour diminuer l’impact sans compromettre les soins. Cette démarche illustre l’intérêt croissant des établissements de santé pour l’environnement et la durabilité.
Des pistes d’amélioration envisagées par le Centre Leclerc
Cette démarche est présentée comme une étape emblématique pour l’hôpital public, et elle s’inscrit dans une dynamique plus large d’évaluation des pratiques hospitalières en matière d’environnement. L’objectif est d’identifier des leviers opérationnels et de partager les résultats afin d’inspirer d’autres établissements à entreprendre des analyses similaires. Des acteurs du secteur estiment que ce type de bilan peut devenir courant dans les prochaines années, voire impacter les politiques internes des hôpitaux. Le récit médiatique a qualifié l’opération de première mondiale, soulignant l’ampleur de l’initiative.