En France, la taxe foncière pourrait flamber pour des millions de logements dès 2026, selon des annonces du gouvernement et des analyses du secteur. Bercy a évoqué une hausse dans le cadre d’une refonte fiscale et d’ajustements budgétaires, alimentant les craintes des propriétaires et des bailleurs sur l’année prochaine. Les débats politiques s’accentuent alors que des voix opposées dénoncent une charge supplémentaire pour le pouvoir d’achat.

Vers une hausse de la taxe foncière en 2026, selon Bercy
Selon les informations diffusées, Bercy a annoncé une hausse de la taxe foncière. Le gouvernement soutient que cette mesure est nécessaire pour financer les services publics et adapter l’imposition à l’évolution économique, tout en promettant une mise en œuvre mesurée. Des élus et des associations surveillent l’impact sur les ménages et les bailleurs, certains appelant à des mécanismes de compensation.
Pour Prisca Thévenot (Ensemble), l’orientation sur la taxe foncière est claire : Taxe foncière: “Gouverner, c’est choisir et ne pas suivre la folie fiscale de la gauche”, estime Prisca Thévenot (Ensemble).
Jordan Bardella a dénoncé: « C’est un coup dans le dos porté aux propriétaires français ».
Des critiques soulignent que l’annonce s’inscrit dans un contexte où d’autres hausses tarifaires pourraient peser sur les budgets domestiques, comme l’alerte de l’UFC-Que Choisir sur une hausse du prix de l’eau de 16% ces 30 derniers mois.
Impact sur les ménages et les bailleurs et les enjeux budgétaires
Les ménages et les bailleurs pourraient sentir la pression d’un coût immobilier plus élevé, surtout si les mécanismes d’adaptation restent limités ou mal ciblés. Sur le plan économique, l’annonce intervient dans un contexte où les portefeuilles d’actifs affichent des réserves de cash décrites comme faibles, ce qui complique les ajustements budgétaires face à ces hausses.
La réforme est scrutée de près par les opposants qui réclament des protections pour les ménages modestes et de meilleures réponses locales. Le débat reste ouvert sur les leviers politiques et les éventuelles compensations proposées par le gouvernement.