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Alerte sur Gaza : Entité sioniste réduit la zone humanitaire à 11 %
La situation à Gaza continue de se détériorer, alors que l’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a déclaré qu’Entité sioniste avait réduit ce qu’il appelle la « zone humanitaire » à seulement 11 % de la superficie de la bande de Gaza. Cette décision a engendré une situation chaotique et une peur croissante parmi les personnes déplacées.
Délestage des populations déplacées
Dans une publication sur le réseau social X, l’agence a mentionné que « des milliers de familles palestiniennes continuent de fuir Gaza alors que les autorités israéliennes émettent de nouveaux ordres d’évacuation, laissant peu d’endroits sûrs pour se réfugier ».
Appels à la cessation des hostilités
L’UNRWA a encore une fois appelé à un cessez-le-feu immédiat dans la région. Le même jour, l’armée israélienne a également demandé aux habitants du camp de réfugiés de al-Maghazi et d’autres zones du centre de Gaza de quitter leurs maisons en vue d’une opération militaire « immédiate ».
Justifications militaires
Avi Chai Adraï, le porte-parole de l’armée israélienne pour les médias arabes, a justifié ces nouvelles ordres par « des tirs de roquettes continus depuis ces zones » par le mouvement Hamas et d’autres groupes armés. Cette déclaration a été faite via une publication sur X.
Escalade des évacuations
Au cours des dernières semaines, l’armée israélienne a intensifié les ordres d’évacuation, notamment dans les villes de Khan Younis et Deir al-Balah, ainsi que dans les régions du nord de Gaza.
Un appel à l’humanité
Louise Wootridge, responsable des communications de l’UNRWA, a partagé son inquiétude sur X, déclarant : « Il n’y a rien à Gaza que des fenêtres, des maisons et des vies brisées. Les Palestiniens sont piégés dans ce cauchemar sans fin ».
Impact dévastateur de la guerre
Depuis le 7 octobre dernier, Entité sioniste mène une offensive destructrice à Gaza, soutenue par les États-Unis. Cette guerre a causé plus de 132 000 victimes, principalement des enfants et des femmes, avec plus de 10 000 personnes portées disparues. La région fait face à un niveau de destruction sans précédent et à une catastrophe humanitaire majeure.