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Découvrez les critiques des films à l’affiche ce 12 février, avec des œuvres variées allant du drame au documentaire. Voici un aperçu de ce que vous ne devez pas manquer cette semaine.
«The Brutalist» de Brady Corbet
Réflexion sur la modernité et ses contradictions, *The Brutalist* de Brady Corbet retrace le destin d’un architecte hongrois fictif rescapé de la Shoah, qui débarque aux États-Unis avec ses traumatismes pour bagage. Ce film met en vedette Adrien Brody, Felicity Jones et Guy Pearce pour une durée de 3 heures et 35 minutes.
«Bridget Jones : folle de lui» de Michael Morris
Mêlant autodérision et tendresse, le quatrième opus des aventures de l’éternelle célibataire, désormais veuve et mère, se révèle le meilleur de la saga. Ce film avec Renée Zellweger, Chiwetel Ejiofor et Leo Woodall dure 2 heures et 4 minutes.
«Strip-tease intégral» de Jean Libon et Clémentine Bisiaux
Des influenceurs à Dubaï, une mère catho écolo, une stand-uppeuse en galère… L’émission culte revient au cinéma avec cinq courts documentaires mordants à souhait. Ce projet collectif dure 1 heure et 30 minutes.
«Prima la vita» de Francesca Comencini
Dans une mise en scène dépouillée et délicate, la cinéaste Francesca Comencini dépeint le portrait de son père et de leur relation en clair-obscur. Le film, qui dure 1 heure et 50 minutes, offre une expérience introspective.
«Le Mohican» de Frédéric Farrucci
Entre western et film noir, Frédéric Farrucci suit la cavale d’un berger corse indocile aux prises avec des spéculateurs sans scrupule. Bien que le récit puisse sembler manichéen, il s’avère convaincant. Le film dure 1 heure et 27 minutes.
«Captain America : Brave New World» de Julius Onah
Écrit et filmé dans la tourmente de la franchise MCU, ce long métrage, qui sort ce mercredi 12 février, n’a en fait rien à dire sur le contemporain. Avec Harrison Ford, Anthony Mackie et Shira Haas, le film dure 2 heures.
«Les Damnés» de Roberto Minervini
Suivant des soldats nordistes dans les confins sauvages du Montana au début de la guerre de Sécession, l’Italien Roberto Minervini signe un film sans patriotisme, âpre et sensoriel. Ce film dure 1 heure et 29 minutes.
«Les Oubliés de la Belle Étoile» de Clémence Davigo
Réunissant les anciens pensionnaires d’une institution religieuse pour garçons mineurs en Savoie dans les années 70, Clémence Davigo ouvre un espace d’écoute sur les sévices qu’ils y ont subi. Le film met en lumière la surdité du diocèse face à ces événements tragiques.