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À Nîmes, Valérie Rouverand, candidate aux municipales et investie par le parti Renaissance, présente un programme centré sur l’éducation et l’enfance. Elle affirme que « L’éducation sera notre priorité absolue » et explique vouloir répondre à des besoins structurels identifiés dans la ville. Le dossier retrace ses propositions autour de la petite enfance, des services publics et de l’éducation, avec des objectifs mesurables et des partenariats locaux.
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Priorité à l’éducation et à l’enfance à Nîmes
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Dans ses propositions, elle insiste sur l’enfance et l’éducation. « Beaucoup a déjà été entrepris, mais les chantiers restent encore nombreux et souvent structurels. J’en veux pour preuve, la fin prématurée de l’année scolaire, en juin dernier, à cause de classes surchauffées. Il y a des services techniques compétents à la mairie, et je sais de quoi je parle. Il y a un personnel municipal, près de 900 personnes et des enseignants qui portent sur leurs épaules toutes les attentes d’une société qui, par bien des aspects, dysfonctionne ».
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Elle détaille aussi des mesures pour l’accueil des tout-petits et une politique de diagnostic participatif des familles, avec le projet d’un portail unique pour la petite enfance et de ressources telles qu’une page web, un guide papier et une hot-line téléphonique afin de répondre aux besoins.
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Coopération et projets pour la jeunesse
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Pour l’aspect éducation et jeunesse, Laurence Remaud, commissaire aux comptes, puis professeure agrégée et aujourd’hui inspectrice académique régionale, est présentée comme « engagée en tant que représentante de la société civile » et place « l’égalité des chances, la laïcité et la citoyenneté au cœur de l’action publique. Notre projet a une ambition forte : garantir à chaque enfant et à chaque jeune un parcours d’épanouissement de la petite enfance à l’insertion professionnelle. »
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Une continuité mais aussi une coopération renforcée avec la préfecture, les associations, l’éducation nationale, la santé, l’université. Avec la volonté d’accompagner sur tous les temps, scolaires, périscolaires et temps libre (« 750 décrocheurs scolaires sont recensés à Nîmes »), de prendre en considération la santé mentale, d’accompagner la fonction parentale avec la création d’un conseil des parents, d’épauler la Cité éducative en augmentant la part de financement de la Ville dans le budget total de 10 à 30 %. Car « les jeunes sont les citoyens de demain ».
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Mesures concrètes et financement local
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Les propositions prévoient un diagnostic participatif des familles pour recueillir leurs attentes et la mise en place d’un portail unique pour la petite enfance avec page web, guide papier et hot-line téléphonique afin de répondre aux besoins, tout en visant une augmentation progressive du financement municipal dans le cadre de la Cité éducative.