Dans le nord-est de la Côte d’Ivoire, l’armée affirme avoir renforcé le contrôle de la frontière face à des incursions signalées de jihadistes et de miliciens venus du Burkina Faso voisin. Des sources locales décrivent des patrouilles plus présentes et des points de contrôle établis le long de la frontière, dans le but de sécuriser le secteur et de rassurer les populations. Le récit diffusé par plusieurs rédactions souligne une volonté claire de dissuader une répétition des violences dans une zone où la stabilité est fragile. «Après Dieu, ici c’est l\’armée. Grâce à elle je dors tranquille, je me réveille le matin en paix».
À la frontière nord-est, l’armée affirme avoir renforcé le contrôle
Des témoins décrivent des patrouilles plus présentes, des postes de contrôle installés à intervalles réguliers le long de la ligne frontière et une coordination accrue avec les autorités locales et les forces de sécurité.
L’objectif déclaré est de sécuriser le secteur et de rassurer les populations locales après les incidents signalés dans le dossier.
Contexte régional et implications
Ce développement s’inscrit dans un contexte régional marqué par des tensions transfrontalières, avec des attaques évoquées depuis le Burkina Faso voisin.
Les sources disponibles ne fournissent pas de chiffres officiels sur l’ampleur ou les conséquences des violences; les détails restent incomplets et les autorités n’ont pas communiqué de bilan consolidé.