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En France, l’épidémie de grippe continue de s’intensifier selon Santé publique France, et le niveau est pour l’heure qualifié de modéré. Le pic épidémique est attendu pour la dernière semaine de 2025 ou les premiers jours de 2026, avec des probabilités affichées de 72,5 % et 22,5 % selon les projections de l’institut. La ministre de la Santé, Stéphanie Rist, rappelle que la vaccination demeure importante et que la progression de la vaccination est encourageante, avec une hausse de plus de 17 % par rapport à l’année dernière. Elle souligne aussi que les gestes barrières restent recommandés et que la permanence des soins peut être renforcée en période de congés.

Le pic de la grippe se profile en France
Selon Santé publique France, l’épidémie continue de s’intensifier en France, mais demeure pour l’heure « modérée ». Le pic épidémique est attendu pour la dernière semaine de 2025 (72,5 % de probabilité) sinon lors des premiers jours de 2026 (22,5 %), selon l’institut. Le suivi de l’épidémie reste vigilant et les autorités recommandent de maintenir les gestes barrières et la vaccination pour limiter les cas.
Vaccination et gestes barrières: messages de la ministre
La ministre de la Santé, Stéphanie Rist, a répété qu’il est encore temps de se faire vacciner et que la campagne vaccinale a augmenté de plus de 17 % par rapport à l’année dernière. On a une campagne de vaccination qui a augmenté de plus de 17 % par rapport à l’année dernière, donc on est plutôt mieux vacciné. Mais encore une fois, il est encore temps de se faire vacciner, a insisté Stéphanie Rist. Il ne faut pas oublier les gestes barrières, comme le port du masque en cas de symptômes et bien se laver les mains, des mesures que tous les Français connaissent maintenant, mais qui sont importantes à rappeler, a-t-elle ajouté.
Réquisitions et cadre légal des médecins de ville
Dans les Bouches-du-Rhône, 17 généralistes ont été réquisitionnés par la préfecture du 25 décembre au 4 janvier pour faire face aux épidémies hivernales et en période de congés de soignants. La ministre a déclaré que « ce n’est pas inhabituel. Ça peut arriver pour permettre à nos concitoyens d’être soignés ». Elle a également rappelé que « Il n’y a pas d’obligation des médecins de ville sur cette permanence des soins ambulatoires, mais il y a une responsabilité collective. Donc, moi je souhaite que ce ne soit pas par de l’obligation, mais plutôt du travail entre professionnels, pour permettre d’avoir des listes de garde ».