Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti, a été élue Miss France 2026 lors de la cérémonie au Zénith d’Amiens, diffusée en direct sur TF1, le 6 décembre 2025. Cette édition a réuni 30 candidates, puis 12 demi-finalistes et 5 finalistes, dans un spectacle rythmé par des tableaux célébrant les terroirs régionaux et par des prestations scéniques. Elle succède à Angélique Angarni-Filopon, Miss Martinique sacrée l’année précédente, dont l’année a été marquée par des polémiques et du cyberharcèlement selon les récits médiatiques. Le vote s’est opéré à parts égales entre le public et le jury, et Miss Tahiti a été sacrée, selon plusieurs retours des médias. Pour la première fois dans l’histoire de Miss France, une ancienne lauréate accompagnera la nouvelle reine: Camille Cerf est chargée d’un rôle inédit d’accompagnement. « J’ai un cocktail d’émotions, je n’arrive pas à réaliser ce qui se passe », a confié Hinaupoko Devèze au micro de Jean-Pierre Foucault.

Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti, sacrée Miss France 2026
Le sacre a été proclamé au Zénith d’Amiens dans la nuit du 6 au 7 décembre 2025, lors d’une cérémonie diffusée sur TF1. Avec 23 ans, Hinaupoko Devèze est originaire de Tahiti et porte les valeurs véhiculées par son pays d’origine et par sa formation en psychologie. La première dauphine est Juliette Collet, Miss Nouvelle-Calédonie, suivie de Victoire Dupuis (Normandie), Naomi Torrent (Guadeloupe) et Déborah Adelin Chabal (Roussillon).
Le classement s’est déroulé selon une règle inchangée: le public et le jury notent à parts égales, et en cas d’égalité, le classement du public prévaut. Dès le premier tour, Hinaupoko Devèze était perçue comme la favorite par le public et par le jury, totalisant 24 points au classement général, ce qui a précédé l’évolution du vote au second tour. Pour la première fois, Miss France sera épaulée par une ancienne Miss, Camille Cerf, dans le cadre d’un accompagnement mis en place par l’organisation.
Je suis le fruit d’une histoire d’amour entre la Polynésie et le sud de la France. Et mon enfance a autant été bercée par le chant des cigales que par la mélodie du ukulélé.
Elle a en outre évoqué ses valeurs et son parcours: « Liberté, l’égalité, la fraternité », et « le respect », des notions qu’elle souhaite porter outre la scène et au-delà, en combinant sa formation en psychologie et ses expériences professionnelles de mannequin et secrétaire administrative. Pour la première fois dans l’histoire de Miss France, Hinaupoko Devèze sera épaulée par Camille Cerf, Miss France 2015, dont la mission est d’apporter un accompagnement à la nouvelle reine durant l’année à venir.
Réactions et contexte autour du sacre
Les échanges sur scène et les réactions du public ont été marqués par l’émotion: Juliette Collet, Miss Nouvelle-Calédonie, devient la première dauphine, suivie de Victoire Dupuis (Normandie), Naomi Torrent (Guadeloupe) et Déborah Adelin Chabal (Roussillon) dans le top final. Selon un compte rendu des médias, dès le premier tour Hinaupoko Devèze était la favorite tant du public que du jury, totalisant 24 points, mais des analyses distinctes ont souligné que le classement final a pu prêter à interprétation selon les votes. En parallèle, plusieurs publications ont noté que, lors de l’annonce, Camille Cerf entrait dans un rôle inédit d’accompagnement pour la lauréate.
Une autre publication relève toutefois que l’apparente favorite du jury n’était pas identifiée dès le départ: « Hinaupoko Devèze n’était pas la favorite du jury » selon cet angle de couverture, ce qui illustre des dynamiques internes au vote et des évolutions d’un tour à l’autre. Quoi qu’il en soit, la victoire finale a été présentée comme une concrétisation d’un ensemble de votes équilibrés entre public et jury, avec la prépondérance du public en cas d’égalité.