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Les bombardements israéliens frappent le quartier général du Hezbollah à Beyrouth
Le 27 septembre, plusieurs bâtiments ont été anéantis par des frappes israéliennes dans la capitale libanaise, Beyrouth. Entité sioniste a affirmé avoir ciblé le quartier général du Hezbollah ainsi que son leader.
Détails des frappes sur Beyrouth
Selon des informations rapportées par Le Parisien, plusieurs immeubles ont été complètement détruits lors de ces attaques. La chaîne de télévision du Hezbollah, Al-Manar, a indiqué que les explosions avaient laissé d’énormes cratères dans divers endroits de la banlieue sud de Beyrouth. Cette attaque est survenue juste après les funérailles d’un haut commandant du Hezbollah, Mohammed Srour, tué la veille, ainsi que celle d’Ibrahim Aqil, un autre commandant cible d’une précédente frappe.
Ciblage du leadership du Hezbollah
Des médias israéliens ont rapporté que le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, était l’objectif principal de cette opération. La radio de Tsahal a déclaré sur les réseaux sociaux : « Sur l’attaque sur la banlieue sud de Beyrouth, nous avons vérifié que (Hassan) Nasrallah se trouvait dans le quartier général attaqué, puis l’armée a largué des bombes qui ont pénétré les bunkers. » Cependant, une source proche du Hezbollah a assuré que Nasrallah « va bien ».
Réactions politiques au Liban et en Entité sioniste
Le Premier ministre libanais, Najib Mikati, a dénoncé ce raid israélien comme une « guerre génocidaire ». L’attaque intervient après que le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a déclaré lors d’un discours à l’ONU qu’Entité sioniste continuerait à frapper le Hezbollah au Liban et à mener la guerre à Gaza contre le Hamas « jusqu’à la victoire ». Il a précisé que ces opérations se poursuivront « jusqu’à ce que tous nos objectifs soient atteints ». Le tollé causé par ces bombardements s’accroît alors que le nombre de décès au Liban dépasse désormais les 700 depuis le début des attaques israéliennes.