Table of Contents
Plusieurs médias français rapportent que le chef Jean Imbert est visé par une enquête pour violences sur conjoint et séquestration, après des témoignages d’anciennes compagnes publiés en 2025. Quatre ex-compagnes ont évoqué des faits de violences physiques et psychologiques; Lila Salet a déposé plainte fin août et le parquet de Versailles a ouvert une enquête. Le chef a annoncé ce 27 août se mettre en retrait de ses établissements, affirmant que la justice doit faire son travail. Les protagonistes et leurs avocats présentent des versions contrastées, sans que le dossier ne soit encore tranché.
Contexte et faits clés autour de Jean Imbert
Selon Elle et d’autres sources, quatre ex-compagnes ont évoqué des violences psychologiques et physiques lors de leurs relations avec le chef, notamment entre 2012 et 2013. Une plainte déposée par Lila Salet a conduit à l’ouverture d’une enquête pour violences sur conjoint par le parquet de Versailles. Jean Imbert, gagnant de Top Chef, est à la tête de plusieurs établissements, et ses avocats affirment que les faits sont contestés par le cuisinier.
Dans ce contexte, l’enquête pour violences sur conjoint a été ouverte à la suite de la plainte, et l’épouse ou ancienne partenaire de l’époque a relaté des épisodes graves. Le chef nie les accusations et assure coopérer avec les autorités. De son côté, il affirme ne pas se prononcer sur le fond en période d’enquête.
Pour mémoire, Lila Salet a raconté des agressions physiques, notamment « de grandes baffes », et une relation « marquée par des disputes et des pressions psychologiques constantes ». Alexandra Rosenfeld, ancienne Miss France, a aussi témoigné dans Elle et publié des éléments sur leur relation. Une autre étape s’est dessinée lorsque, fin août, la plaignante a déposé une nouvelle plainte et que le parquet a confirmé l’ouverture d’une enquête.
Réactions et versions des protagonistes et avocats
Le 27 août, Jean Imbert a publié sur Instagram: « La justice est saisie, c’est un soulagement, et je n’ai pas de doute sur l’issue de l’enquête », écrit-il en story Instagram. Il a également ajouté: « Je travaille avec plus de 1 000 personnes (…). Ma responsabilité aujourd’hui, c’est de ne plus leur faire porter mes tourments », poursuit-il. De son côté, ses avocats ont réaffirmé leur position et rappelé que l’artiste nie les accusations, tout en précisant que certaines allégations reposent sur des témoignages et des messages évoqués par les parties prenantes.
Des éléments fournis par les avocats d’une des ex-compagnes, notamment Lila Salet, évoent des violences physiques et une séquestration pendant un week-end à Florence, selon les documents déposés. D’autres témoins et documents publiés par Elle et relayés par différents médias font état d’un ensemble de comportements dénoncés par les ex-compagnes. Les avocats de Rosenfeld ont aussi soutenu que des échanges et des témoignages montrent qu’elle aussi aurait exercé des violences, et ils se préparent à d’éventuelles procédures de défense.
Éléments en cours d’enquête et suites prévues
En plus des accusations de violences physiques et psychologiques, les plaignants et les avocats évoquent des épisodes de séquestration. L’enquête pour violences sur conjoint reste en cours et le parquet de Versailles a confirmé l’ouverture de l’enquête après le dépôt de plainte. Les décisions de justice et les prochains actes procéduraux ne sont pas encore connus à ce stade.