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Dans cette affaire troublante, Olivier Cappelaere est au cœur d’une enquête fascinante et inquiétante, révélée dans l’émission *Affaires Sensibles*.
L’incident tragique
Le 7 avril 2015, Suzanne Bailly, âgée de 85 ans, se retrouve inconsciente dans son appartement au Cannet, dans les Alpes-Maritimes. Avant de s’évanouir, elle parvient à alerter un ami, un homme plus jeune qui lui vient en aide de temps à autre. Peu après, tous deux sont frappés de vomissements violents, expulsant une bile noire, semblable à de l’encre de seiche.
Les analyses révéleront qu’ils ont ingéré de l’atropine, un poison dont la toxicité rivalise avec celle de l’héroïne et dépasse celle du cyanure. Cette découverte soulève des questions inquiétantes sur l’identité du coupable qui pourrait être derrière cette tragédie.
Olivier Cappelaere et le mobile financier
L’enquête se concentre rapidement sur Olivier Cappelaere, le « débit-rentier » de Suzanne. Ce dernier avait acquis l’appartement de la victime en viager, soulevant des soupçons sur ses intentions. Avec un profil de gendre idéal, il s’était su faire apprécier par les personnes âgées, ce qui rend l’affaire encore plus dérangeante.
Au fur et à mesure que l’enquête progresse, des éléments laissent penser qu’il pourrait être impliqué dans d’autres empoisonnements à l’encontre de vieilles dames.
Un récit troublant
Ce dossier est exploré en profondeur par Sylvie Fagnart dans une série documentaire captivante, mettant en lumière les dynamiques complexes entre le suspect et ses victimes.
Point de vue d’un expert
Pour apporter son éclairage, Christophe Perrin, journaliste à *Nice Matin*, a suivi l’affaire et les procès associés, offrant un regard critique sur le développement de cette affaire troublante.