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La Haine et la Trouille, ce sont les noms des deux rivières qui coulent dans Mons, cette ville tranquille du sud de la Belgique. C’est ici, entre 1996 et 1997, que 5 femmes sont retrouvées mortes, les corps démembrés puis placés dans des sacs poubelles.
Une Découverte Macabre
Au printemps 1997, douze sacs poubelles contenant une trentaine de fragments humains sont retrouvés disséminés dans la périphérie de Mons en Belgique. Très vite, les policiers découvrent que ces membres appartiennent à trois femmes disparues à des moments différents ; trois femmes qui fréquentaient toutes un seul et même endroit : le quartier de la gare.
Paniquer à Mons
Bientôt, un vent de panique souffle sur la ville : tout le monde se soupçonne et les dénonciations pleuvent. Cependant, malgré une enquête minutieuse et des centaines de témoignages, les fonctionnaires font du sur place. L’assassin, lui, poursuit son jeu de piste sordide : à l’automne, le nombre de victimes passe à cinq. Face à l’horreur, la presse baptise l’énigmatique criminel d’un nom qui marque les esprits : le dépeceur de Mons.
Une Enquête Inachevée
Aujourd’hui encore, dans cette ville tranquille où coulent deux rivières appelées la Haine et la Trouille, ils sont encore nombreux à se demander : pourquoi ne l’a-t-on jamais attrapé ?
Un Récit Documentaire
Un récit documentaire de Guillaume Ballandras met en lumière cette affaire troublante.
Interview avec un Expert
Morgan Vanlerberghe, qui a publié avec Dany Corlana en 2022 un ouvrage intitulé « Il est moins cinq… Enquête sur le dépeceur de Mons », apporte un éclairage sur cette affaire criminelle qui a marqué l’histoire de la Belgique.