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Le prince Andrew est sous le feu des projecteurs après avoir été accusé d’avoir utilisé un faux nom pour enregistrer une société. Selon le New York Post, cette affaire remonte à 2003 lorsqu’il a fondé Naples Gold Limited avec Johan Eliasch, un magnat du secteur de la vente au détail d’articles sportifs.
Des accusations sérieuses
Le prince, fils cadet de la reine Elizabeth II, aurait utilisé le pseudonyme Andrew Inverness lors de la création de l’entreprise. Des documents officiels montrent qu’il était décrit comme un « consulant » dans les dossiers, ce qui a soulevé des questions sur la légalité de ses actions.
Réactions de la communauté
Le groupe anti-monarchique Republic a formellement dénoncé ces pratiques en accusant Andrew d’avoir falsifié des documents officiels. Graham Smith, le directeur général de l’organisation, a déposé une plainte officielle auprès de Scotland Yard, qui examine actuellement la situation pour déterminer si des actions supplémentaires sont nécessaires.
Contexte et conséquences
Cette situation ne fait qu’ajouter à la pression sur le prince Andrew, qui a déjà fait face à plusieurs controverses, notamment des allégations de comportement inapproprié dans le passé. Utiliser le nom Andrew Inverness dans des documents officiels pourrait lui valoir des accusations de fraude, ce qui compliquerait encore davantage sa situation personnelle et professionnelle.
Un titre controversé
Andrew a reçu le titre de comte d’Inverness de la part de sa mère, mais cette nouvelle affaire pose la question du statut et des privilèges liés à la royauté. Les critiques soulignent que le manque d’actions concrètes de la part des autorités face à des accusations graves pourrait encourager un sentiment d’impunité au sein de la famille royale.