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Les monjas de Belorado, qui ont récemment rompu leurs liens avec l’Église, ont suscité l’attention des médias après des révélations choquantes sur leur mode de vie. José Ceacero, ancien porte-parole des monjas, s’est exprimé lors de l’émission _Código 10_, partageant des détails sur leur quotidien qui défient les attentes traditionnelles.
Un mode de vie désordonné
Selon Ceacero, les monjas de Belorado ne respectaient pas les obligations religieuses habituelles. « Elles ne prenaient pas le temps de prier comme il se doit et ne mettaient jamais les pieds dans la chapelle », a-t-il déclaré. Au lieu de cela, elles vivaient une existence marquée par le désordre, se levant tard et travaillant à leur rythme sans horaire fixe imposé par l’évêque.
Conditions de vie inattendues
Les révélations ne s’arrêtent pas là. Le convent, où résidaient les monjas, était décrit comme très sale. « C’était comme une scène d’un film western, avec de la poussière partout », a précisé Ceacero. Il a également mentionné qu’elles avaient des animaux au dernier étage et ne nettoyaient pas leurs excréments pendant plusieurs jours, ce qui a choqué de nombreux observateurs.
Retraite spirituelle non réalisée
Un autre point soulevé par Ceacero concerne une retraite spirituelle proposée par l’évêque, qui devait permettre aux monjas de réfléchir sur leur vie. Cependant, cette retraite n’a jamais eu lieu. « Elles vivaient comme si c’était un appartement d’amies, et elles ont réussi à ternir l’image des monjas de clausura », a-t-il dénoncé.
Un appel à la réflexion
Ces révélations soulèvent des questions importantes sur les pratiques et le mode de vie des monjas de Belorado, mettant en lumière un besoin urgent de réévaluation de leur situation au sein de l’Église. Alors que la communauté catholique observe ces événements avec attention, les implications de ces révélations pourraient avoir des conséquences durables.