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Les tensions au Yémen continuent de grimper alors que les États-Unis intensifient leurs frappes aériennes contre les Houthis, un groupe rebelle soutenu par l’Iran. Cette escalade des hostilités a été marquée par plusieurs frappes récentes qui visent des infrastructures clés et des commandants rebelles.
Frappes américaines ciblées
Des rapports médiatiques indiquent que l’armée américaine a mené trois frappes aériennes dans la région de Majzar, située dans la province de Marib au Yémen. Ces attaques font suite à une intensification des opérations militaires contre les positions des Houthis, notamment dans la ville de Saada, au nord du pays.
Réaction des autorités américaines
La Central Command (CENTCOM) des États-Unis a confirmé que ses opérations se poursuivent contre les Houthis. Selon des responsables américains, le président Donald Trump a donné l’ordre d’adopter une posture plus agressive que celle de l’administration précédente à l’égard de ce groupe rebelle. Des frappes ont été menées en partie à l’aide de chasseurs basés sur le porte-avions Harry S. Truman, qui opère dans la mer Rouge.
Stratégie militaire et objectifs
Des sources rapportent que les frappes se sont concentrées sur des résidences de dirigeants houthis à Sanaa, la capitale yéménite. Un responsable de la défense a noté que l’implication du porte-avions Harry S. Truman représente un élément central de la réponse militaire américaine. Les États-Unis cherchent à contrecarrer les menaces posées par les drones et les missiles des Houthis, qui ont récemment intensifié leurs attaques.
Implications géopolitiques
Les frappes américaines visent également à envoyer un message fort à l’Iran, accusé de soutenir les Houthis. Selon des responsables, cette campagne pourrait durer plusieurs jours, en fonction de la réaction des militants. Les États-Unis espèrent que des opérations militaires plus robustes permettront de réduire l’influence des Houthis sur des territoires clés du Yémen.