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Luis Enrique : Les départs au PSG expliqués par Marco Verratti

par Sara
France, Qatar, Arabie Saoudite

Le Paris Saint-Germain a récemment connu des changements significatifs dans son effectif, avec des départs notables tels que ceux de Neymar et Marco Verratti, qui ont été transférés respectivement en Arabie Saoudite et au Qatar. Lors d’un entretien avec la Gazzetta dello Sport, Verratti a tenu à clarifier les raisons de son départ, réfutant les rumeurs qui évoquaient une pression de Luis Enrique.

Un nouveau projet sportif pour le PSG

En juin 2022, Nasser Al-Khelaïfi a annoncé un nouveau projet sportif pour le club, marqué par l’arrivée de Luis Campos au poste de conseiller football, remplaçant Leonardo. Ce changement symbolise un tournant pour le PSG, visant à privilégier le développement de jeunes talents plutôt que d’investir dans de grandes stars.

Des départs significatifs

Au cours de la dernière année, des joueurs emblématiques tels que Neymar, Lionel Messi, Sergio Ramos et Marco Verratti ont quitté le club. Luis Enrique a été associé au départ de Neymar, qui a été vendu à Al-Hilal, souhaitant une réorganisation de l’attaque sans l’ancien attaquant brésilien. Toutefois, Verratti a affirmé que sa décision de partir ne relevait pas de la volonté d’Enrique.

Les mots de Marco Verratti

Dans son interview, Verratti a précisé : « Ce n’est pas comme ça, les étoiles sont là, il les a. Il a créé un grand groupe, ils pensent beaucoup au collectif, Luis Enrique a été très bon. Ils vont gagner pendant des années et des années. Ah, une chose : ils ont écrit que j’ai quitté le PSG parce que Luis Enrique le voulait. C’est faux : je vous assure que c’était bien plus tôt que cela. »

Retrouver la joie du football

Par ailleurs, l’ancien milieu de terrain du PSG a exprimé sa satisfaction quant à son nouveau club, Al-Duhail, où il a retrouvé un sentiment de joie qui lui manquait à Paris. Selon lui : « Ici, si un joueur est sur le banc, il n’est pas grognon et énervé ; ici, on sourit quand même, l’envie d’être ensemble et de jouer dépasse tout. À Paris, la victoire était devenue une évidence : ici, j’ai retrouvé quelque chose d’enfantin, la joie de gagner, comme quand on est enfant. Le bonheur. À Paris, la victoire était monotone, répétitive. »

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