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Un influencer pro-Trump, Charlie Kirk, a été tué par balle mercredi lors d’une réunion publique sur le campus de l’Utah Valley University, dans l’ouest des États-Unis. Les autorités évoquent un meurtre politique selon le gouverneur de l’État, et les enquêteurs, avec le FBI, ont lancé une enquête active et recueillent des informations auprès des témoins. Cette affaire intervient à un moment où les débats sur la sécurité lors de rassemblements politiques et universitaires suscitent une attention accrue.
À Utah: le meurtre de Charlie Kirk et les premiers éléments
Selon les premiers éléments publiés, l’influenceur était présent pour un échange avec les étudiants lorsque le coup de feu a été tiré. Le drame s’est déroulé sur le campus de l’Utah Valley University, dans l’ouest des États‑Unis. Le FBI et les autorités locales ont indiqué qu’ils étudiaient plusieurs pistes et que plus de 130 informations ont été reçues. Beau Mason, commissaire du Département de la sécurité publique de l’Utah, a précisé que les mouvements du suspect ont pu être retracés depuis son arrivée sur le campus à 11h52, heure locale, et que le suspect aurait pu s’intégrer à la communauté universitaire.
Dans les rapports des témoins et des médias, on lit aussi que le suspect semblait «En âge d’aller à l’université» et que des éléments d’enquête, y compris une arme retrouvée, orientent les recherches. Le récit des faits s’appuie sur des communications officielles et sur les vidéos présentées par les organisateurs de l’événement, qui montrent Kirk avant le tir.
Les autorités indiquent que l’enquête est active et qu’un grand nombre d’informations sont passées en revue. Le texte rappelle que l’incident a été qualifié de meurtre et que les autorités restent prudentes jusqu’à la diffusion d’éventuels éléments d’identification du ou des suspects.
Le FBI et les pistes: armes retrouvées et questions d’enquête
Ce jeudi matin, le FBI a annoncé avoir retrouvé une arme qui aurait pu servir à tuer l’influenceur. L’agent spécial Robert Bohls a déclaré qu’un fusil à verrou de grande puissance avait été retrouvé dans une zone boisée et envoyé à un laboratoire pour analyses. L’enquêteur a aussi mentionné la découverte d’empreintes de chaussures et une empreinte de paume et d’un avant-bras dans la zone du meurtre. Le FBI a indiqué avoir reçu plus de 130 informations et a précisé qu’il pourrait s’agir d’une piste sérieuse sans pouvoir la diffuser à ce stade.
Beau Mason a ajouté: «Nous disposons d’une vidéo de qualité de cet individu. Nous ne la publierons pas pour le moment», et les enquêteurs travaillent à l’obtention d’une image du suspect qui pourrait les aider à avancer sans le communiquer publiquement pour l’instant. Selon lui, les mouvements du suspect ont pu être retracés depuis son arrivée à l’Université de la vallée de l’Utah à 11h52, heure locale.
Les autorités soulignent que Kirk était présent lors d’un échange avec les étudiants et que des vidéos diffusées sur les réseaux montrent l’instant précédent l’effondrement. L’enquête, coordonnée par le FBI et les services de l’État, se poursuit pour déterminer les motivations et identifier l’auteur du tir.
Contexte international: Bolsonaro et la polarisation politique
Dans un volet distinct de l’actualité, Jair Bolsonaro est au cœur d’un procès qui fait l’objet de vifs débats au Brésil. Un juge de la Cour suprême, Luiz Fux, a déclaré: «Il n’appartient pas à la Cour suprême de faire un jugement politique sur ce qui est bon ou mauvais» et a réfuté l’existence d’une «organisation criminelle armée» derrière les accusations qui pèsent sur Bolsonaro et ses co-accusés. Selon l’article, un vote sur une condamnation a été évoqué, avec un score de 2 à 1 en faveur d’une condamnation, mais les délibérations se poursuivent et le verdict final n’est pas encore prononcé. Dans ce contexte, l’administration américaine a aussi éveillé l’attention en évoquant des mesures et en réagissant à ces développements.
La couverture de ce procès a été associée à une reprise des tensions politiques: le président américain Donald Trump a invoqué une «chasse aux sorcières» contre Bolsonaro pour justifier des mesures économiques et des pressions diplomatiques. Cette dimension transnationale rappelle que les affaires judiciaires ou politiques peuvent nourrir la polarisation dans plusieurs pays et influencer les débats publics au-delà des frontières.