Le psychanalyste Gérard Miller mis en examen ce jeudi 2 octobre pour viols et agressions sexuelles sur six femmes, après deux jours de garde à vue. Il est placé sous contrôle judiciaire et doit suivre une obligation de soins. Les faits évoqués se seraient produits entre 2000 et 2020, selon le parquet et les témoignages recueillis.
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Cadre et faits retenus par la justice
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Après sa garde à vue, Gérard Miller a été mis en examen pour viols et agressions sexuelles sur six femmes, et il est placé sous contrôle judiciaire avec obligation de soins. Selon le parquet, les faits se seraient déroulés entre 2000 et 2020. La plupart des victimes semblent avoir rencontré l’intéressé en marge d’émissions de télévision, puis décrivent des séances qu’il dément avoir pratiquées, notamment toute pratique d’hypnose.
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Éléments, témoignages et portée de l’affaire
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Le dossier est soumis à la justice et les éléments publiés indiquent que le mis en examen est sous surveillance judiciaire et soumis à une obligation de soins. Les faits allégués, s’ils sont établis, soulèvent des questions sur la relation entre célébrité et pouvoir et sur les mécanismes de signalement, sans que d’autres informations publiques ne soient détaillées dans les sources disponibles. Il convient de rappeler que la mise en examen ne constitue pas une condamnation.