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Une plainte a été déposée contre le chef cuisinier Jean Imbert pour violences conjugales et séquestration, selon des documents consultés par la presse et relayés par plusieurs témoins. Lila Salet, ancienne actrice et ex-compagne du chef, décrit une relation marquée par des disputes et des pressions psychologiques constantes entre 2012 et 2013, évoquant une « Violence absolue » et des violences physiques décrites comme « des immenses baffes ». Dans une vidéo publiée sur Instagram, elle affirme : « Il était d’une violence absolue dans ses mots, dans sa manière de me maîtriser ». Elle précise qu’un soir le chef aurait fracassé sa porte à coups de pied et de poing après avoir plongé son appartement dans le noir. Elle avait déposé plainte, puis s’était rétractée. Jean Imbert nie la moindre violence.
Plainte et éléments du dossier contre Jean Imbert
Selon les éléments consultés, la jeune femme évoque des agissements entre 2012 et 2013, décrits comme une relation marquée par des disputes et une pression psychologique. Les faits évoqués incluent une phrase qualifiée de « Violence absolue » et des violences physiques répétées, notamment des coups qui auraient conduit à la mise en scène d’un appartement plongé dans le noir. La plaignante affirme avoir déposé plainte avant de se rétracter plus tard. Le camp du chef, pour sa part, affirme qu’il n’y a pas eu de violence et que ces accusations ne correspondent à aucune réalité.
Témoignages et réactions publiques
Plus tôt dans la semaine, Lila Salet a salué le « courage » d’Alexandra Rosenfeld, une autre ancienne compagne de Jean Imbert, qui a pris la parole pour dénoncer les violences qu’elle aurait subies il y a une dizaine d’années. « Son témoignage nous pousse toutes à avancer, a estimé Lila Salet. Je salue son courage, je suis très fière d’elle, de sa trajectoire. Le temps des victimes n’est pas le même pour toutes. » Rosenfeld a ensuite partagé publiquement son expérience sur Instagram le mardi 19 août, apportant un éclairage complémentaire sur les violences alléguées.
Version de Jean Imbert et suites possibles
Face à ces accusations, Jean Imbert conteste toute violence et se borne à affirmer qu’il n’a jamais exercé de violence sur quiconque. À ce stade, les informations publiques se limitent à des déclarations et à des témoignages; aucune mise en examen n’est détaillée dans les documents disponibles, et le dossier judiciaire ne semble pas être rendu public dans les textes fournis. La situation illustre toutefois la crainte persistance des victimes et la complexité des parcours judiciaires dans des affaires de violences domestiques impliquant des personnalités publiques.