Table of Contents
Après la défaite de l’Olympique de Marseille face au Paris Saint-Germain (3-1), le coach marseillais, Roberto De Zerbi, a exprimé des réserves quant à l’utilisation du terme ‘clasico’ pour désigner cette rencontre. Selon lui, l’écart de niveau entre les deux équipes est trop important pour que ce terme reste approprié.
Un constat amer pour De Zerbi
Le résultat de ce match, qui a vu le PSG dominer les débats, ne surprend guère. « Le clasico, c’est quand il y a une lutte, tu prends un coup, tu en remets un », a déclaré De Zerbi, tout en rendant hommage à la performance des Parisiens. Il a, néanmoins, reconnu avoir des « regrets » quant à certaines opportunités manquées durant le match.
Les regrets d’une équipe en quête de succès
« On a eu des occasions de but en première période », a-t-il expliqué. Cependant, une erreur a coûté cher lorsqu’un but contre son camp a précipité la chute de son équipe. « Le PSG est actuellement la meilleure équipe d’Europe », a ajouté De Zerbi, soulignant la transformation de l’équipe parisienne sous la direction de son entraîneur.
Une saison en cours avec des ambitions
Malgré cette défaite, l’OM conserve sa deuxième place en Ligue 1 et continue de nourrir des ambitions pour la Ligue des champions. « Nous aussi, il nous faudra du temps », a précisé De Zerbi, faisant référence à l’évolution nécessaire de son équipe pour rivaliser avec le PSG.
Une disparité frappante entre les deux clubs
De Zerbi a mis en lumière la différence de niveau et de moyens entre l’OM et le PSG. « On ne peut pas comparer l’effectif et la force économique des deux clubs », a-t-il affirmé. Pour lui, le véritable ‘clasico’ nécessite une compétition équitable, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Un message d’unité pour les joueurs
Le coach marseillais a également abordé le sujet du capitanat d’Adrien Rabiot lors de ce match. Il a exprimé l’importance de l’unité dans l’équipe, déclarant : « Quand quelqu’un est en difficulté dans ma famille, les autres doivent se serrer contre cette personne ». Ce geste, selon lui, a renforcé la cohésion de l’équipe.