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Une image révélatrice de l’ambiance au sein du FBI a récemment été publiée, illustrant les changements qu’apporte l’administration de Donald Trump. Cette photographie, prise à l’Académie de Quantico en Virginie, montre des mots tels que « diversité », « compassion », « stabilité » et « coopération » recouverts de peinture grise, symbolisant une purge imminente au sein de l’agence fédérale.
Une purge ciblée
Des rapports indiquent qu’une vaste purge est en préparation au FBI, visant des agents ayant participé aux enquêtes concernant Donald Trump. Plusieurs médias américains font état de licenciements potentiels touchant des dizaines d’agents.
Des responsables sous pression
Selon CNN, au moins six hauts responsables du FBI ont reçu l’ordre de « prendre leur retraite, démissionner ou être licenciés d’ici lundi ». Le Washington Post signale que le nombre total d’agents visés pourrait atteindre « potentiellement des centaines ». De plus, une trentaine de procureurs fédéraux impliqués dans les investigations sur l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021 ont déjà été remerciés.
Réactions du DOJ et du FBI
Le ministère de la Justice a également pris des mesures en renvoyant plusieurs responsables ayant travaillé sur les affaires concernant Trump. James McHenry, ministre de la Justice, a expliqué que ces licenciements étaient justifiés par un manque de confiance dans leur capacité à appliquer le programme du président.
Conséquences pour la sécurité nationale
L’Association des agents du FBI a exprimé des préoccupations concernant cette purge, affirmant que le licenciement de centaines d’agents fragiliserait la capacité de l’agence à protéger le pays contre des menaces criminelles et de sécurité nationale. En conséquence, le Bureau et sa nouvelle direction courent le risque d’échouer dans leurs missions.
Changements à la tête du FBI
Christopher Wray, ancien directeur du FBI, a démissionné après la victoire de Trump aux élections présidentielles de novembre, et ce dernier a nommé Kash Patel, un de ses proches, à sa place. Interrogé par le Sénat, Patel a nié être au courant d’un quelconque plan de répression contre les agents ayant enquêté sur Trump.