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Figure charismatique de l’âge d’or hollywoodien, l’actrice new-yorkaise Barbara Stanwyck, à l’aise dans tous les genres, fait actuellement l’objet d’une belle rétrospective à La Rochelle Cinéma puis au Majestic Bastille.
Un parcours cinématographique remarquable
Son nom évoque des performances mémorables, comme celles dans Les Furies d’Anthony Mann ou Quarante Tueurs de Samuel Fuller. Bien qu’elle n’ait pas suscité le même culte que Bette Davis, Marlene Dietrich ou Joan Crawford, Stanwyck incarne une image forte de la féminité : souveraine, indépendante et paradoxale, oscillant entre sincérité et duplicité, courage et manipulation.
Une icône du cinéma américain
Née Ruby Stevens en 1907 et décédée en 1990, Stanwyck a traversé le cinéma hollywoodien en accompagnant l’évolution de l’industrie, des premiers films parlants à ses apparitions tardives à la télévision. Elle a brillamment interprété une vaste gamme de genres, allant du drame social au mélodrame, en passant par le film noir, la screwball comedy et le western, contribuant ainsi à remodeler les codes de chacun d’eux.
Une admiration unanime
Stanwyck était admirée par de nombreux cinéastes, dont Frank Capra, qui ont su tirer le meilleur de son talent exceptionnel. Sa capacité à captiver les spectateurs à chaque apparition fait d’elle une actrice incontournable de l’histoire du cinéma.