La sécurité de Nicolas Sarkozy est au cœur d’un dispositif renforcé en détention, avec deux officiers de sécurité affectés à sa protection et des mesures encadrant ses déplacements. Laurent Nuñez, ministre de l’Intérieur, a confirmé que ce dispositif resterait en place « tant que nous le jugerons utile ». Cette protection s’inscrit dans le cadre de mesures habituelles lorsque des personnalités sont potentiellement menacées. Les informations publiques indiquent que ces dispositions visent à prévenir tout trouble et à assurer un transfert sûr vers les services compétents, tout en garantissant la continuité du dispositif de sécurité autour de l’ancien chef de l’Etat.
Nicolas Sarkozy protégé en prison par deux officiers de sécurité
Deux policiers resteront dans une cellule voisine de celle de l’ex-chef de l’État et resteront « tant que nécessaire » pour assurer sa sécurité, a assuré le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez.
«C’est ce que nous faisons habituellement», a précisé le ministre. «C’est évidemment un citoyen comme les autres mais il y a des menaces un peu plus importantes qui pèsent sur l’ancien président de la République qu’est Nicolas Sarkozy. La décision a été prise et donc elle a été appliquée immédiatement», a-t-il précisé. «Au même titre», a-t-il poursuivi, «que son transfert vers la Santé a été escorté pour éviter qu’il y ait une kyrielle de motocyclistes, de journalistes, qui suivent le cortège…»
Transfert vers les soins et mesures associées
Le transfert vers les services de Santé a été escorté afin d’éviter qu’il y ait une kyrielle de motos et de journalistes qui suivent le cortège, selon les propos relayés par le ministre.
«C’est évidemment un citoyen comme les autres mais il y a des menaces un peu plus importantes qui pèsent sur l’ancien président de la République qu’est Nicolas Sarkozy. La décision a été prise et donc elle a été appliquée immédiatement», a-t-il précisé. «Au même titre», a-t-il poursuivi, «que son transfert vers la Santé a été escorté pour éviter qu’il y ait une kyrielle de motocyclistes, de journalistes, qui suivent le cortège…»
Lors d’un entretien accordé à Europe 1, le ministre a confirmé que ces dispositions répondent à des exigences de sécurité et de protection de l’ordre public durant les déplacements de l’ancien président.