Un séisme de magnitude 6 a frappé l’est de l’Afghanistan, déclenchant de lourds dégâts et des répliques ressenties à des centaines de kilomètres. Selon Imazpress, au moins 622 personnes sont mortes et plus de 1 500 ont été blessées. Selon Mediapart, le bilan dépasse les 800 morts et 2 700 blessés, avec un épicentre localisé à proximité de Jalalabad et une profondeur estimée à 8 kilomètres. Le tremblement et ses répliques ont touché une vaste zone et ont suscité des appels à l’aide et à la solidarité internationale.
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Bilan provisoire et chiffres en hausse
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Les chiffres rapportés par les deux médias montrent une divergence préoccupante mais ne permettent pas de conclure à un nouveau bilan définitif. Selon Imazpress, 622 personnes sont mortes et plus de 1 500 ont été blessées, avec des répliques décrites comme significatives. Selon Mediapart, le total dépasse 800 morts et 2 700 blessés, et les informations font état de cinq répliques suivies. Dans les deux cas, le séisme et ses répliques ont été ressentis sur une large zone, mettant à rude épreuve les infrastructures et les services d’urgence.
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Le récit des victimes et des secours demeure fragile, et les secours s’organisent face à des conditions difficiles dans des régions éloignées. Les autorités et les organisations humanitaires appellent à l’aide internationale pour assurer les secours, l’évacuation des blessés et l’approvisionnement en nourriture et en eau dans les prochains jours.
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Épicentre et localisation près de Jalalabad
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Selon Mediapart, l’épicentre du tremblement est situé à 27 kilomètres de Jalalabad, à une profondeur de 8 kilomètres, et le séisme, ainsi que cinq répliques, a été ressenti à des centaines de kilomètres. Le premier récit mentionne simplement l’est du pays et des répliques, sans précision géographique exacte, ce qui illustre les divergences entre les sources sur les détails de localisation.
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Ces éléments soulignent la complexité de la situation dans une zone déjà vulnérable, où les conditions sanitaires, l’accès routier et les capacités de secours influent sur la vitesse et l’efficacité de l’aide humanitaire. Les autorités et les organisations internationales surveillent de près l’évolution du bilan et des besoins sur le terrain, en attendant des évaluations plus précises des dégâts et des populations touchées.