Table of Contents
L’Olympique de Marseille a finalement laissé passer une occasion en or lors du dernier mercato d’hiver en ne parvenant pas à recruter Jonathan David. Ce dossier, qui a suscité beaucoup d’attention, met en lumière les choix financiers et sportifs du club marseillais.
Un mercato hivernal marqué par des remplacements clés
Au cours de cette période de transferts, l’OM a officialisé l’arrivée d’Amine Gouiri pour combler le départ prématuré d’Elye Wahi, parti après seulement six mois au club. Ce renouvellement s’inscrivait dans une volonté de renforcer l’attaque marseillaise, mais avant que Gouiri ne soit acquis, le nom de Jonathan David avait aussi circulé parmi les pistes potentielles.
Jonathan David : un dossier au cœur des spéculations
Le jeune attaquant canadien, sous contrat avec le LOSC jusqu’en juin prochain, a attiré l’attention de plusieurs clubs, dont l’OM. Cependant, c’est le refus apparent de Marseille de s’aligner sur les exigences financières qui a fait échouer ce transfert. Bruno Genesio, l’entraîneur lillois, n’a pas manqué de l’évoquer avec un brin d’ironie lors d’une conférence de presse.
« L’hiver dernier ? Ils ne pouvaient pas le faire l’hiver dernier, si ? Il fallait qu’ils payent. Donc s’ils l’ont pas fait, c’est qu’ils ne voulaient pas payer. C’est qu’ils estiment qu’il n’est pas assez fort pour payer, c’est ça ? »
Bruno Genesio confiant pour l’avenir de Jonathan David
Malgré les interrogations sur le transfert manqué, Genesio affiche une grande sérénité quant à l’attitude et la progression de son joueur. Il souligne notamment la constance de David ces derniers matchs, après une période plus compliquée où son état d’esprit avait été remis en question.
L’entraîneur du LOSC déclare :
« C’est le dernier de mes soucis. Ce que je veux, c’est qu’il garde la même attitude que sur les derniers matchs. Je l’ai suffisamment défendu quand il a eu une période un peu difficile, où on mettait en doute son état d’esprit, pour ne pas changer d’avis sur ce qu’il fait. Ses matchs me donnent raison, et je suis content que ça me donne raison. Ce qu’il fera au mois de juin, ça lui appartient, ce sera son choix. Qu’il prolonge ici, qu’il aille en France ou à l’étranger, le plus important pour lui c’est qu’il aille dans un endroit où il se sent bien, où il pourra s’épanouir. »