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Les récentes violences en Syrie, en particulier à l’encontre des civils alawites, ont suscité de vives réactions internationales, notamment de la part des Nations Unies et des États-Unis. La situation a atteint un point critique, incitant les autorités mondiales à intervenir.
Appel de l’ONU à la cessation des violences
Volker Turk, Haut Commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, a déclaré que les « tuées de civils en Syrie doivent cesser immédiatement ». Cette déclaration fait suite aux événements tragiques survenus samedi, où 745 civils alawites, soutiens de l’ancien président Assad, ont été tués par les forces de sécurité syriennes et des groupes alliés dans l’ouest du pays.
Réaction des États-Unis
Le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, a également condamné ces massacres, appelant l’administration intérimaire dirigée par Ahmad Sharaa, également connu sous le nom d’al-Jolani, à rendre des comptes. « Les autorités provisoires de la Syrie doivent tenir responsables les auteurs de ces atrocités contre les communautés minoritaires syriennes », a-t-il affirmé dans un communiqué.
Critiques contre les autorités syriennes
Le ministre de la Défense israélien, Israel Katz, a également pris position contre les nouveaux dirigeants islamistes de la Syrie, qualifiant le nouveau président de « terroriste d’al-Qaida ». Cette déclaration souligne la tension croissante dans la région et les inquiétudes concernant la sécurité.
Enquête indépendante annoncée
En réponse à la pression croissante sur la scène internationale, la présidence syrienne a annoncé la création d’une « commission d’enquête » indépendante pour examiner les massacres. Cette initiative vise à apaiser les préoccupations mondiales et à montrer l’engagement des autorités syriennes à enquêter sur ces actes de violence.