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Des tensions importantes émergent au sein de la droite italienne suite aux récents événements survenus à Brescia. Le groupe du Parti démocrate a interpété le ministre de l’Intérieur, Matteo Piantedosi, pour obtenir des éclaircissements concernant une situation jugée préoccupante.
Interrogation parlementaire
Le député démocrate de Brescia, Gian Antonio Girelli, accompagné de Matteo Mauri, responsable national de la sécurité du PD, a soumis une question parlementaire pour éclaircir ce qui s’est réellement passé dans les locaux de la police de Brescia. Ils insistent sur l’importance de ne laisser aucune zone d’ombre dans une affaire d’une telle gravité.
Accusations d’un activiste
Les déclarations d’une activiste d’Extinction Rebellion, qui a participé à un rassemblement devant le siège de Leonardo à Brescia avec Ultima Generazione et un groupe Pro Palestine, ont été rapportées par plusieurs médias. Selon ses dires, la police lui aurait demandé de se déshabiller et de réaliser des squats, ce qu’elle aurait refusé. Toutefois, certaines de ses camarades auraient obéi par peur.
Réaction de la police
La police de Brescia a fermement démenti ces accusations, affirmant avoir mené ses enquêtes conformément aux normes de respect des droits et de la dignité des personnes. Les démocrates demandent désormais à Piantedosi s’il est informé des faits exposés et quelles mesures il compte prendre pour clarifier la situation dans les plus brefs délais.
Implications politiques
Cette affaire soulève des interrogations quant à la gestion de la sécurité en Italie et met en lumière les tensions internes au sein de la droite. Les déclarations de Zaia, un personnage clé de la droite italienne, amplifient ce climat tendu, suscitant des critiques non seulement de l’opposition, mais aussi au sein de ses propres rangs.