Donald Trump a pris la tribune de l’ONU pour dénoncer la reconnaissance de l’État de Palestine par la France, le Royaume-Uni et le Canada, et l’a qualifiée de « récompense » pour « les terroristes du Hamas ». Il a rappelé que le Hamas avait refusé les pourparlers de paix et a insisté sur la libération des otages, affirmant : « Nous devons faire cesser cette guerre. Négocier la paix immédiatement. Nous souhaitons que les 20 otages soient libérés ». Il a aussi dénoncé ce qu’il décrit comme une action des Nations unies et une politique migratoire jugée trop laxiste par ses interlocuteurs, déclarant : « L’ONU n’est pas à la hauteur des attentes ». L’allocution, prononcée à New York, intervient alors que le dossier palestinien demeure au cœur des débats sur la sécurité internationale et les alliances occidentales.
À l’ONU, Trump affirme que la reconnaissance de la Palestine serait une récompense pour le Hamas
Dans son discours, l’ancien président a dénoncé la reconnaissance d’un État de Palestine par certains pays, qu’il a qualifiée de « récompense » pour « les atrocités » du Hamas. Il a rappelé que le Hamas avait refusé les pourparlers et qu’il refusait de libérer les otages ou d’accepter un cessez-le-feu, selon les extraits de son allocution.
Il a ajouté que la reconnaissance ne servirait pas la paix et a affirmé, lors de l’intervention, que « Ce serait une récompense pour ces atrocités horribles, y compris celles du 7 octobre, alors même qu’ils refusent de libérer les otages ou d’accepter un cessez-le-feu ».
Il a également critiqué l’ONU et les politiques migratoires européennes, déclarant que « l’ONU n’est pas à la hauteur des attentes » et citant des critiques sur l’immigration et le financement des migrations, rapportés par les sources concordantes.
Critiques sur les migrations et les frontières ouvertes
Sur les questions migratoires, Trump a attaqué les politiques des alliés européens, affirmant que « vos pays vont droit en enfer » en raison de leurs choix concernant les frontières. Il a enchaîné en affirmant qu’il est temps de mettre fin à l’expérience ratée des frontières ouvertes.
Le récit s’est également concentré sur le ton de sa critique envers les dirigeants de grandes villes, notamment le maire de Londres, Sadiq Khan, qu’il a qualifié de terrible et a suggéré que la ville pourrait tomber sous la charia. Enfin, l’ancien président a promis des mesures contre les trafiquants et a signalé que l’armée américaine avait détruit plusieurs navires transportant des drogues, mettant en garde les criminels.