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À l’approche des élections présidentielles américaines, Donald Trump, candidat républicain, exprime des regrets quant à son départ de la Maison Blanche, qui remonte à près de quatre ans. Lors d’un récent discours à Lititz, en Pennsylvanie, il a incité ses partisans à se méfier des médias, qu’il qualifie de « fausses nouvelles ».
Des déclarations audacieuses
Trump a déclaré : « Nous avions la frontière la plus sûre de l’histoire de notre pays, le jour où je suis parti. » En évoquant une vitre de protection sur le podium, il a précisé que celle-ci est destinée à le protéger lors de ses apparitions publiques, surtout après l’attentat dont il a été victime en juillet dernier.
Accusations à l’encontre des médias
S’adressant à la presse présente, il a affirmé : « Ce que nous avons là-bas, ce sont les fausses nouvelles. » Le public a réagi avec enthousiasme, applaudissant ses propos. Trump a ajouté : « Je n’aurais pas dû partir », sous-entendant un regret par rapport à son mandat à la Maison Blanche.
Menaces et tensions
Trump a poursuivi en expliquant que, pour l’atteindre, il faudrait passer par les fausses nouvelles. Il a affirmé que cela ne le dérange pas : « Ça ne me dérange pas du tout. » L’ancien président appelle régulièrement les médias ses « ennemis du peuple » et n’hésite pas à menacer les journalistes qui ne sont pas en accord avec ses idées. Des inquiétudes grandissantes se font sentir quant à la manière dont Trump pourrait traiter les médias et les opposants s’il était réélu.