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Le président Trump a lancé une série de décrets exécutifs visant à restreindre l’entrée des migrants aux États-Unis et à limiter leur capacité à demander l’asile, fermant ainsi d’importants canaux juridiques pour l’immigration.
Des décrets exécutifs pour limiter l’immigration
Lors de son premier jour au pouvoir dans son second mandat, Trump a signé plusieurs décrets destinés à exclure les immigrants, en particulier en ce qui concerne l’accès à l’asile. Dans l’un de ses premiers décrets, intitulé « Sécuriser nos frontières », il a ordonné à son administration de mettre fin aux programmes instaurés par l’ancien président Joseph R. Biden Jr., qui permettaient aux migrants de demander l’asile une fois sur le sol américain.
Trump a également réinstauré des mesures restrictives de son premier mandat qui avaient été annulées par Biden. Il a déclaré dans son décret : « Des millions d’étrangers en situation irrégulière provenant de nations et de régions du monde entier ont réussi à entrer aux États-Unis, où ils résident actuellement, y compris des terroristes potentiels, des espions étrangers, des membres de cartels, des gangs et d’autres organisations criminelles transnationales violentes. »
Des mesures aux conséquences immédiates
Trump a consacré une grande partie de son premier mandat à promouvoir l’idée de construire un mur pour empêcher l’entrée des migrants. Cependant, les actions récentes pour modifier les politiques frontalières ont un impact immédiat et considérable, en fermant effectivement les portes aux migrants, y compris ceux fuyant la persécution et la violence.
Fermeture d’une application facilitant l’entrée
Dès son investiture, l’équipe de Trump a désactivé l’application gouvernementale CBP One, qui permettait aux migrants de prendre rendez-vous pour entrer aux États-Unis. L’administration Biden avait utilisé cette application, initialement développée sous Trump, pour offrir un moyen sûr et ordonné de traverser les frontières terrestres sans mettre leur vie en danger. Les migrants bénéficiaient alors d’un statut de liberté conditionnelle, leur permettant d’être temporairement présents dans le pays et d’obtenir un droit de travail.
