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Zohran Mamdani, maire de New York, est avant tout un passionné de football et évoque son meilleur souvenir lié au football africain pendant la CAN 2025. Né en Ouganda et arrivé à New York à sept ans, il rappelle comment le ballon a traversé les continents et nourri son regard sur le monde. Son récit croise des images du Sénégal, de la France et d’un football africain qui a marqué sa jeunesse et son engagement public.
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Le souvenir phare: Sénégal 2002 et la France
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Dans une intervention liée à la CAN 2025, Mamdani récapitule son meilleur souvenir lié au football africain: le Sénégal qui bat la France lors du match d’ouverture de la Coupe du monde 2002. « Ce n’était pas à la CAN, mais c’est quand même du football africain, avoue-t-il sur la chaîne égypto-américaine Pharaohtalks. D’habitude, mon père ne me laissait jamais arriver en retard à l’école, mais en 2002, quand le Sénégal a battu la France lors du match d’ouverture (défaite des Bleus 1-0 à la Coupe du monde)… Ben je suis arrivé en retard. »
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Il ajoute: « Papa Bouba Diop, 1-0, un de mes meilleurs souvenirs. Cette équipe sénégalaise, avec Henri Camara, Khalilou Fadiga, El-Hadji Diouf, ce sont des souvenirs marquants de ma jeunesse. »
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CAN 2025 et l’optimisme pour l’Ouganda
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Lors de la CAN 2025, l’Ouganda, surnommé les Cranes, entame son parcours par une défaite contre la Tunisie (3-1) et prépare désormais un match crucial contre la Tanzanie. Mamdani se veut optimiste pour une qualification et prévoit une troisième place de groupe comme scénario plausible, en rappelant son attachement à la réussite des équipes africaines sur la scène internationale.
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« J’ai grandi en supportant chaque équipe africaine qualifiée. Donc j’ai oscillé entre le Sénégal, l’Algérie, le Maroc, l’Égypte », a confessé Mamdani, précisant qu’il a grandi dans la diaspora et a rejoint New York avec sa famille à l’âge de sept ans.
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Le parcours personnel et l’influence sur l’image publique
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Élu maire de New York en novembre, Mamdani est décrit comme un grand fan d’Arsenal et comme une figure qui entretient des liens avec l’Afrique dans son quotidien. Son récit illustre comment le sport peut devenir une passerelle entre les communautés et les grandes villes américaines et les pays d’origine des habitants. Son regard sur le football africain, du Sénégal à l’Ouganda, résonne aussi dans son engagement politique et sa manière de dialoguer avec les citoyens autour des questions internationales.