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Les fantasmes des Français : des envies secrètes révélées
Quels sont les fantasmes des Français et Françaises ? Quelles sont leurs envies intimes, celles qu’ils gardent souvent pour eux sans oser en parler à leur partenaire ? Pour éclaircir ces questions, le site pour adultes XloveCam a mené une enquête auprès de 1000 Français âgés de 18 ans et plus, en majorité célibataires ou en couple depuis plus de 15 ans. Cette étude permet de découvrir les lieux et scénarios qui font vibrer les désirs sous la couette.
Faire l’amour ailleurs que dans un lit : un rêve partagé
La première surprise de cette enquête est que 65 % des sondés placent en tête de leurs fantasmes l’idée de faire l’amour dans un lieu exotique. La routine du lit conjugal, aussi confortable soit-il, laisse place à des envies d’évasion et de nouveautés.
- 71 % rêvent d’ébats sur une plage déserte, idéalement au coucher du soleil.
- 73 % aimeraient tenter l’expérience dans une voiture, avec une préférence pour un break familial plutôt qu’un cabriolet deux places.
- 69 % souhaitent un moment intime dans une piscine ou un jacuzzi.
Les fantasmes liés aux jeux de rôle séduisent également 37 % des Français, une proportion intéressante qui révèle des désirs plus imagés et créatifs.
Des fantasmes sexués selon les genres
Les préférences en matière de fantasmes diffèrent nettement entre femmes et hommes. Chez les femmes, les figures idéalisées sont celles des pompiers (45 %), policiers ou militaires (41 %), secouristes de plage (35 %) et professeurs de sport (28 %). Ces archétypes incarnent une forme de protection et de virilité.
Chez les hommes, les fantasmes empruntent des codes plus classiques, avec en tête :
- Les infirmières (67 %)
- Les secrétaires (63 %)
- Les hôtesses de l’air (61 %)
On note aussi que 33 % des Français, avec une prédominance chez les femmes, fantasment sur l’idée d’un partenaire déguisé, ce qui ouvre la porte à de nombreuses possibilités ludiques et érotiques.
Fantasmes classiques en déclin
Les fantasmes dits « classiques » semblent perdre de leur intensité auprès des Français. En effet, seuls :
- 18 % sont attirés par le bondage
- 20 % par l’échangisme
- 17 % par le sexe tantrique
- 20 % par l’adultère
Ces chiffres témoignent d’une évolution des mœurs vers des désirs plus variés ou plus ancrés dans des contextes originaux plutôt que dans des pratiques traditionnelles.