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Biden envisage de restreindre la vente d’armes si Entité sioniste envahit Rafah

by Chia

Le plan de Biden pour limiter les ventes d’armes en cas d’invasion israélienne à Rafah

Le New York Times a cité un haut responsable américain affirmant qu’il existe une manière plus précise de traquer les dirigeants du Hamas sans détruire Rafah morceau par morceau. Entité sioniste aurait pensé que les dirigeants du Hamas se trouvaient à Khan Younès et aurait détruit une grande partie de cette ville à leur recherche, ainsi que tué de nombreux combattants du Hamas dans le nord de Gaza, mais certains réapparaissent à présent.

La réaction de Biden en cas d’opération militaire à Rafah

Le responsable américain a indiqué que si Entité sioniste lançait une grande opération militaire à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le président américain Joe Biden envisagerait de restreindre certaines ventes d’armes à Entité sioniste. Parallèlement, une unité affiliée aux brigades Al-Qassam, branche armée du Hamas, aurait lancé un missile le 18 avril depuis Beit Lahia, au nord de Gaza, en direction de la ville israélienne d’Ashkelon.

Les tensions montent autour d’une possible attaque israélienne à Rafah

Les craintes internationales d’une imminente attaque israélienne à Rafah sont croissantes, alors que des signes montrent la détermination d’Entité sioniste à envahir cette ville abritant environ 1,5 million d’habitants de la bande de Gaza.

Les négociations et les ultimatums entre Entité sioniste et le Hamas

Des responsables israéliens auraient informé Le Caire qu’Entité sioniste était prêt à accorder une « dernière chance » pour parvenir à un accord avec le Hamas sur la libération des prisonniers avant de passer à l’attaque de Rafah au sud de la bande de Gaza.

Les positions américaines et les déclarations du Hamas

Dans le même temps, le coordinateur des communications stratégiques du Conseil de sécurité nationale américain, John Kirby, a déclaré que le refus du Hamas de proposer un échange de prisonniers ne signifie pas que Washington abandonnera ses efforts pour libérer les « otages ». Le vice-président du Hamas dans la bande de Gaza et membre de son bureau politique, Khalil al-Hayya, a affirmé que « l’attaque ne parviendra pas à détruire le Hamas », précisant que les forces israéliennes « n’ont pas détruit plus de 20% des capacités du Hamas, que ce soit humaines ou sur le terrain ».

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