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Lobs Gaza marque fort le 1er Mai en France contre l’injustice
La revue française Lobs a rapporté que des keffiehs et des drapeaux palestiniens ont participé à la manifestation ouvrière hier, mercredi à Paris. Le mot « génocide » était largement affiché sur les banderoles et scandé par les manifestants, mêlant solidarité avec le peuple de Gaza aux revendications traditionnelles des travailleurs cette année.
Des revendications et des slogans forts
Les cris exigeant l’arrêt des hostilités ont retenti tout au long de l’après-midi lors des événements commémorant la Journée internationale des travailleurs, célébrée le 1er Mai de chaque année. La revendication de justice pour Gaza s’est donc jointe aux revendications syndicales classiques.
La voix de la protestation
Le mot « génocide » continuait de se démarquer sur les banderoles et les pancartes, symbolisant pour de nombreux manifestants ce qui se passe à Gaza, même si la Cour internationale de Justice a refusé de qualifier les événements là-bas de génocide.
Un appel à la solidarité internationale
Les manifestants favorables aux Palestiniens ont défilé derrière des cortèges tels que « Urgence Palestine », « Europe Palestine », et aux cris de « Nouvelle Armée Populaire », « Révolution Permanente » et « France Résistante ».
Appels à la résistance et à la justice
La mobilisation dans certaines universités pour la cause palestinienne a inclus des participants de tous âges. La convocation de la députée Muriel Pénicaud et de la militante des droits Rima Hassan par la police judiciaire pour « apologie du terrorisme » a suscité l’indignation.
L’ombre de mai 1968
La mobilisation à la Sorbonne et dans d’autres universités, ainsi que les images d’évacuation des manifestants par la police, ont renforcé la détermination de certains participants. Certains se sont souvenus de Mai 68, comparant la situation actuelle à celle de cette période mouvementée de l’histoire.