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Deux familles terrorisées: évacuation ordonnée de Gaza
Rima Khamis, une mère de trois enfants âgée de 34 ans, venait tout juste d’arriver chez ses parents pour une visite un dimanche soir.
Elle habitait dans le nord de la ville de Gaza et était venue dans le quartier de Daraj au centre pour rendre visite à sa mère malade.
Les ordres israéliens de quitter Daraj, Tuffah et la Vieille Ville
Les ordres israéliens d’évacuer Daraj, Tuffah et la Vieille Ville sont tombés comme un coup de tonnerre, semant la panique partout.
« J’ai essayé d’appeler mon mari pour lui dire ce qui se passait, en vain », a déclaré Rima à Al Jazeera par messages téléphoniques.
Ne sachant pas ce qui allait se passer, elle a attrapé ses enfants et quelques affaires qu’elle pouvait trouver et « a commencé à courir vers le nord de la ville ».
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Refuser une vie d’exil
Rima et sa famille étaient restées à Gaza City tout au long de l’assaut israélien sur l’enclave, refusant de rejoindre la vague de déplacés internes qui avaient fui pour se mettre en sécurité face aux frappes israéliennes.
Leur détermination à rester en place leur a coûté cher, mais elles étaient sûres que partir serait pire.
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Patients évacués sur leurs brancards
Lorsque l’ordre d’évacuation forcée est tombé, Alaa se trouvait à l’hôpital Al-Ahli Arab avec son mari et son neveu de deux ans, brûlé sur tout le corps.
Le petit garçon avait perdu toute sa famille dans un bombardement israélien la semaine précédente.
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Garder l’espoir malgré tout
Au milieu de toutes ces souffrances, Rima et Alaa, ainsi que de nombreuses autres familles à Gaza, tentent de garder l’espoir malgré les événements terribles qui les entourent.
Malgré l’incertitude et la peur, ces familles montrent une résilience incroyable face à l’adversité, refusant de se plier à la terreur imposée par les circonstances.
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Cet article s’adresse aux lecteurs francophones intéressés par une couverture d’actualité détaillée et précise.