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Dans le cadre de son périple autour du monde, Clarisse Crémer partage régulièrement son carnet de bord. La navigatrice, qui a pris le départ le 10 novembre à bord de son bateau « l’Occitane », vient de passer le cap de Bonne-Espérance.
Franchir le cap de Bonne-Espérance
Après avoir navigué pendant plusieurs jours, Clarisse Crémer a franchi le cap de Bonne-Espérance lundi après-midi. Comme elle l’explique dans son carnet de bord, l’expérience est à la fois familière et dépouillée de tout romantisme. À plus de 300 milles de la terre, le spectacle se résume à « un énième nuage gris » et une mer agitée.
Les réflexions d’une navigatrice
Clarisse souligne que la magie des caps ne réside pas seulement dans le paysage, mais dans le chemin parcouru. « J’ai tracé ma route jusqu’à te dépasser », écrit-elle, évoquant la signification personnelle et maritime de son voyage. Le cap de Bonne-Espérance représente une porte vers les mers du Sud, un environnement qui promet d’être aussi mystérieux qu’éprouvant.
Un quotidien en mer
À présent, Clarisse Crémer se prépare à affronter le quotidien des mers du Sud, caractérisé par des dépressions australes et une faune marine unique, comme les albatros. Ce nouveau chapitre de son aventure s’annonce intense, alors qu’elle s’engage dans un parcours autour de l’Antarctique, renforçant ainsi son expérience et sa connexion avec l’océan.